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Guinness60
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 Posté le: Sam 06 Avr 2013 17:21 Sujet du message: Cogan-Killing Them Softly (Andrew Dominik) |
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| Citation: | | Lorsqu’une partie de poker illégale est braquée, c’est tout le monde des bas-fonds de la pègre qui est menacé. Les caïds de la Mafia font appel à Jackie Cogan pour trouver les coupables. Mais entre des commanditaires indécis, des escrocs à la petite semaine, des assassins fatigués et ceux qui ont fomenté le coup, Cogan va avoir du mal à garder le contrôle d’une situation qui dégénère… |
Metropolitan Vidéo.
Le film
Dominik nous avait déjà émerveillé avec son western "L'Assassinat de Jesse James par le Lâche Robert Ford" et c'est encore le cas ici. Véritable critique de l'Amérique d'aujourd'hui (le dialogue de final de Pitt fera date) bercé par des images de villes détruites par la crise et contrebalancés avec les beaux discours des politiques. Le film est bavard ce qui nous permet de vraiment entrer dans ces situations et rarement il aura été donné de voir un casting aussi bon. Une vrai réussite.
Le disque
Assez décevant dans les scènes de nuits où les noirs sont portés disparus, ce BD sait se faire efficace en plein jour, où les détails ne manquent pas.
Scènes coupées
Making of |
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Sypnos
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| Posté le: Sam 06 Avr 2013 19:40 Sujet du message: |
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| Vais attendre de le trouver à petit prix mais c'est sûr qu'il fera parti de ma vidéothèque celui-là. |
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Le loup celeste
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| Posté le: Lun 06 Mai 2013 09:48 Sujet du message: |
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Année : 2012
Durée : 97 min
Réalisateur : Andrew Dominik
Acteurs : Brad Pitt, Scoot McNairy, James Gandolfini, Richard Jenkins, Ray Liotta
Le synopsis :
Lorsqu’une partie de poker illégale est braquée, c’est tout le monde des bas-fonds de la pègre qui est menacé. Les caïds de la Mafia font appel à Jackie Cogan pour trouver les coupables. Mais entre des commanditaires indécis, des escrocs à la petite semaine, des assassins fatigués et ceux qui ont fomenté le coup, Cogan va avoir du mal à garder le contrôle d’une situation qui dégénère...
Le film : ♥♥♥♥♥
Avec sa mise en scène savamment étudiée, son atmosphère désespérée, ses dialogues ciselés, ses personnages brumeux et sa violence foudroyante, ce polar noir cynique et quelque peu farfelu qui aborde en filigrane la crise économique n'est pas sans évoquer le cinéma de Quentin Tarantino, David Lynch et Guy Ritchie, et préfère faire parler longuement ses talentueux acteurs (sur tout et rien) plutôt que la poudre. L'exercice désarçonne de prime abord mais se montre finalement bien ficelé et parfois fascinant.
Le Blu-ray Disc : 
- Format vidéo : 1080p24 (AVC) / [2.35]
- Pistes sonores : Anglais et Français(VFF) DTS-HD Master Audio 5.1
- Sous-titres : Français
• Image : Un rendu partiellement maîtrisé avec une définition solide (en dehors de quelques petites baisses), un piqué pointu (les portions floues de l'image sont voulues) et une palette colorimétrique savoureusement nuancée, mais qui souffre de contrastes irréguliers, de noirs inégaux et d'une compression pas toujours discrète.
• Audio : Des pistes sonores axées sur la scène frontale qui ont du mordant. Le mixage est très étudié (les bruits qui résonnent après une trop grande absorption d'alcool ou de produits stupéfiants), la dynamique explose lors des scènes d'action, les dialogues sont d'une grande clarté, la BO est délivrée avec beaucoup de panache et les surrounds sont parfois submergés d'effets (les trombes d'eau lors d'un passage à tabac). C'est irréprochable !
- Région : B (France)
- Éditeur : Metropolitan Vidéo
- Date de sortie : 05 avril 2013
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Mon Blog sur le 7e art : Le cinéma du loup
Mes installations HC : Principale (7.1.2) et secondaire (3.1)
Dernière édition par Le loup celeste le Lun 06 Mai 2013 13:26; édité 1 fois |
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Guinness60
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| Posté le: Lun 06 Mai 2013 11:03 Sujet du message: |
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| La force des dialogues est vraiment prodigieuse. Ça dit tellement de choses sur l'Amerique, c'est hyper subtil, comme dans le bar entre Pitt et le tueur à gages. |
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max zorin
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| Posté le: Mar 07 Mai 2013 17:14 Sujet du message: |
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Bah moi j'avais moyennement aimé Jessie James... 
Mais je dois avouer que le sujet et le style de Cogan m'intéressent, c'est pourquoi il est tout en haut sur ma liste de loc.
Je remonte le post de Jesse James pour copier ma critique de l'époque. 
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And did we tell you the name of the game, boy?
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max zorin
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| Posté le: Ven 17 Mai 2013 20:54 Sujet du message: |
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Cogan : Killing them softly, thriller de Andrew Dominik, 2012/USA, loc DVD Z2
Mais de quoi s’agit-il dans ce polar? J’ai attendu et attendu mais rien !
Je l’accorde aux fans inconditionnels de Andrew Dominik, il y a quelques plan-séquences assez virtuoses dans ce film, notamment la longue exécution d’un truand dans sa voiture, tournée au ralenti et minutieusement mise en scène et bruitée. Malgré la violence graphique de certaines scènes qui fait visiblement référence à Tarantino, ce film noir finit par ennuyer à force de se prendre au sérieux. En tueur brutal philosophe, Brad Pitt livre une prestation assez statique, à l’image d’un ensemble trop mou, dont les bavardages racoleurs sont à 100 lieues de pouvoir prétendre au titre de dialogues cultes acquis par la merveilleuse et fascinante futilité des dialogues tarantinesques.
Dommage qu’Andrew Dominik ait essayé de faire quelque chose qui ne lui ressemble pas. Il aurait mieux fait de poursuivre dans son style contemplatif et poétique admiré dans L’assassinat de Jesse James. Pour le coup, on sait pas exactement ce qu’il a voulu faire.
3/5
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And did we tell you the name of the game, boy?
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Argento
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| Posté le: Dim 04 Aoû 2013 12:39 Sujet du message: |
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Mafia Blues 3
Aprés la révélation CHOPPER et la semi- consécration JESSE JAMES ont était en doit d'attendre d'Andrew Dominik autre chose que cet exercice de style ennuyeux, prétentieux et surtout vain.Prenant comme toile de fond et comme excuse, la crise sociale et économique des USA, il tente vainement de faire un paralléle entre ultra capitalisme rampant et ... et quoi d'abord ?
Car tout le probléme est là . Que tente t'il donc de nous démontrer en nous exposant les élucubrations fumeuses de junkies apprentis braqueurs et en nous les opposant a des discours politiques télévisés commentés par des longs tunnels de dialogues verbeux et artificiels assénés par des personnages tout droit sortis d'un amphithéâtre de phylo.Désolé, mais il faut quand même un peu plus pour avoir la prétention de décrire la condition humaine. Tout ça reléve quand même beaucoup du gadget ...
Et bien sûr comme le réal ne fait pas les choses a moitié, il plombe encore le film avec une réalisation "arty" et poseuse qui achéve de faire du film une oeuvre antipathique au possible.
Note 5/10 |
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hanz landa
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| Posté le: Dim 04 Aoû 2013 16:47 Sujet du message: |
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Le début du topic donne envie, le final pas du tout ! 
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Moi quand on m'en fait trop, j'correctionne plus, j'dynamite...j'disperse...et j'ventile... |
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Lorenzo007
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| Posté le: Dim 04 Aoû 2013 16:59 Sujet du message: |
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Un très grand film (un de plus pour A.Dominik) qui dépeint une Amérique ravagée par la crise.
Certes, c'est très contemplatif, mais c'est superbe.
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Les critiques presses ne savent pas de quoi elles parlent, elles méritent que je leur donne des leçons de cinéma ! |
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max zorin
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| Posté le: Dim 04 Aoû 2013 17:32 Sujet du message: |
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| Argento a écrit: | Mafia Blues 3
Aprés la révélation CHOPPER et la semi- consécration JESSE JAMES ont était en doit d'attendre d'Andrew Dominik autre chose que cet exercice de style ennuyeux, prétentieux etsurtout vain. Prenant comme toile de fond et comme excuse, la crise sociale et économique des USA, il tente vainement de faire un paralléle entre ultra capitalisme rampant et ... et quoi d'abord ?
Car tout le probléme est là . Que tente t'il donc de nous démontrer en nous exposant les élucubrations fumeuses de junkies apprentis braqueurs et en nous les opposant a des discours politiques télévisés commentés par des longs tunnels de dialogues verbeux et artificiels assénés par des personnages tout droit sortis d'un amphithéâtre de phylo.Désolé, mais il faut quand même un peu plus pour avoir la prétention de décrire la condition humaine. Tout ça reléve quand même beaucoup du gadget ...
Et bien sûr comme le réal ne fait pas les choses a moitié, il plombe encore le film avec une réalisation "arty" et poseuse qui achéve de faire du film une oeuvre antipathique au possible.
Note 5/10 |
On est d'accord!
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Argento
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| Posté le: Lun 05 Aoû 2013 10:53 Sujet du message: |
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| Lorenzo007 a écrit: | qui dépeint une Amérique ravagée par la crise.
Certes, c'est très contemplatif, mais c'est superbe. |
Le cinéma comtemplatif ne me dérange aucunement, bien au contraire.
Mais je ne vois toujours pas ou est la description d'une amérique ravagée par la crise étant donné que le réalisateur ne s'attarde pas ou presque a donner un contre poids réel au microcosme du gangstérisme ...
Le film de Friedkin, Killer Joe, en dit bien davantage sur la misére sociale en offrant une peinture bien plus réaliste d'une certaine amérique white trash et working class et en s'attardant sur les multiples dysfonctionnement de la cellule familiale et de ses répercussions a long termes . |
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Argento
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| Posté le: Lun 05 Aoû 2013 10:57 Sujet du message: |
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| hanz landa a écrit: | | Le début du topic donne envie, le final pas du tout ! |
Désolé de t'avoir coupé l'envie.
| max zorin a écrit: | | On est d'accord! |
C'est ce que j'avais cru comprendre, oui. Pourvu que ça dure. |
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hanz landa
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| Posté le: Lun 05 Aoû 2013 11:16 Sujet du message: |
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Sois pas désolé, tu argumente très bien. rien a dire.
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Moi quand on m'en fait trop, j'correctionne plus, j'dynamite...j'disperse...et j'ventile... |
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max zorin
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| Posté le: Lun 05 Aoû 2013 17:45 Sujet du message: |
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| Argento a écrit: | | hanz landa a écrit: | | Le début du topic donne envie, le final pas du tout ! |
Désolé de t'avoir coupé l'envie.
| max zorin a écrit: | | On est d'accord! |
C'est ce que j'avais cru comprendre, oui. Pourvu que ça dure. |
On va tout de suite voir ca, je vais rechercher mon commentaire de Killer Joe pour voir. Cela dit, si on était pas d'accord un jour, ca serait pas grave non plus!
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And did we tell you the name of the game, boy?
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Argento
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| Posté le: Lun 05 Aoû 2013 18:04 Sujet du message: |
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| max zorin a écrit: | | Cela dit, si on était pas d'accord un jour, ca serait pas grave non plus! |
Non, c'est sûr ! Et a mon avis, ça risque fort d'arriver assez vite, je pense.  |
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Lorenzo007
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| Posté le: Lun 05 Aoû 2013 19:43 Sujet du message: |
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| Argento a écrit: |
Le film de Friedkin, Killer Joe, en dit bien davantage sur la misére sociale en offrant une peinture bien plus réaliste d'une certaine amérique white trash et working class et en s'attardant sur les multiples dysfonctionnement de la cellule familiale et de ses répercussions a long termes . |
J'ai aimé les deux films, mais ils ne se comparent absolument pas, que ce soit par le style ou l'analyse "anthropologique" (j'ai sorti un mot que ni Les Inrocks, ni Libé, ni Les Cahiers ne connaissent la signification...waouw !! ) que font les deux cinéastes.
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Les critiques presses ne savent pas de quoi elles parlent, elles méritent que je leur donne des leçons de cinéma ! |
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Argento
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| Posté le: Mar 06 Aoû 2013 14:58 Sujet du message: |
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| Lorenzo007 a écrit: |
J'ai aimé les deux films, mais ils ne se comparent absolument pas, que ce soit par le style ou l'analyse "anthropologique" que font les deux cinéastes. |
On est d'accords. Je prenais cet exemple (Killer Joe) pour expliquer que POUR MOI, le cinéma est avant tout un art de l'image et que par conséquence, pour faire passer un message ou une émotion, je préfére 100 fois un gros plan sur le visage habité d'un acteur, un geste, ou je ne sais quoi d'autre, plutôt que de longs dialogues verbeux, trop écrits, donc trop artificiels.
Question de sensibilité, je pense. |
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Lorenzo007
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| Posté le: Mar 06 Aoû 2013 15:40 Sujet du message: |
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Ma sensibilité aime les deux styles.
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Guinness60
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| Posté le: Jeu 08 Aoû 2013 09:36 Sujet du message: |
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| Je ne vois pas comment on peut passer à côté du discours sur la pauvreté de l'Amerique. La scène de début, les discours à la TV. C'est aussi très subtil dans les dialogues de Brad Pitt, c'est plein de désillusion. Rien que la dernière phrase est un véritable coup de poing. |
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Argento
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| Posté le: Jeu 08 Aoû 2013 16:11 Sujet du message: |
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| Guinness60 a écrit: | | Je ne vois pas comment on peut passer à côté du discours sur la pauvreté de l'Amerique. La scène de début, les discours à la TV. C'est aussi très subtil dans les dialogues de Brad Pitt, c'est plein de désillusion. Rien que la dernière phrase est un véritable coup de poing. |
C'est a peu près aussi subtil que de dire que la guerre c'est pas cool et que le racisme, c'est pas bien d'abord. 
Débat clos en ce qui me concerne car je ne vois pas ce que je peux rajouter d'autre sans risque de me répéter. |
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