Battle Los Angeles [11/03/2011]

[xanderross]

Bon vu que l'ancien post sur le film n'existe plus...

Battle: Los Angeles



Une escouade de marines va devoir affronter une invasion extra terrestre en plein Los Angeles.

Réalisateur: Jonathan Liebesman

Casting: Aaron Eckhart, Michelle Rodriguez, Bridget Moynahan, Michael Peña, Joey King et Lucas Till

date de sortie:
USA: 11 Mars 2011
UK: 25 Mars 2011
Allemagne: 14 Avril 2011
France: ??


Premier teaser trailer enfin dévoilé via le facebook de Michelle Rodriguez.

480p

720p

1080p
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Panasonic 50G20S / Yamaha RXV465 / Focal Sib & Cub² / PS3 slim 250Gb / X360S 250Gb

[xanderross]

petite série de photos:






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[Mad Max]

Ca a l'air sympatoche.

[Dark Vador]

Ça donne envie.
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[STIFLER]

[Guinness60]

Ouai rien que pour Aaron Eckart (pas sûr que ce soit bien orthographié).

[castortroy11]

ouaip ca s'annonce pas mal du tout !

[Gort]

La critique de FilmsActu
http://cinema.jeuxactu.com/critique-cinema-world-invasion-battle-los-angeles-13538.htm
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[SHREK83]

Ca a l'air effectivement sympa, faut y preter de l'attention

Mais ça fait pas un peu "Independence day" en Californie?
Genre on se prend une branlée pis après c'est nous qu'on gagne quand même par ce qu'on est les plus forts?

[Guinness60]

Les Aliens sont plus coriaces aux States c'est bien connus.

Prochainement :

World Invasion : Battle of Roubaix.

[xanderross]

Non l'invasion est partout mais en fait, le film va simplement prendre un groupe de militaire parmi tant d'autre, qui sont basé en californie, rien de plus, sinon la bataille est bien mondiale. Et on morfle bien
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[SHREK83]

Dans Independence c'est le president des US qui sauve le monde.
Là c'est encore plus fort c'est des "surfeurs Californiens" qui font le boulot.

Trop fort le pitch!!

[castortroy11]

[Nicolas]

Un film que j'attends beaucoup ce soir il était présenté au GRAND JOURNAL de CANAL +
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Si c'est votre premier soir au Fight Club : vous devez vous battre !

[Aboyeur]

si quelquun l'a vu en avant premiere

cest visible à partir de quel age ?

[xanderross]

Avant toute chose, je tiens beaucoup à féliciter les incapables qui sont en charge de choisir les titres pour la France chez Sony. En ajoutant un World Invasion, ils font de la publicité mensongère pour le film. Battle L.A. ne parle pas de l’invasion mondiale mais seulement d’une des batailles qui règnent au sol, et qui se déroule à Los Angeles, une parmis tant d’autre, d’où le titre d’origine; Battle Los Angeles.

Battle L.A. est le quatrième film de Jonathan Liebesman. Il à notamment réalisé le plutôt bon Darkness Falls, le très mauvais Texas Chainsaw: The Beginning et le très bon The Killing Room. Il s’attaque donc à un double sujet avec Battle L.A., le film de Science Fiction et le film de Guerre.

Les films de Science fiction parlant d’extra terrestre et qui se veulent réalistes ET sérieux, il n’y en à pas eu des masses ces dernières années, les deux meilleurs exemples restant à ce jour le District 9 de Neill Bloomkamp et le Cloverfield de Matt Reeves, Deux films qui ont marqués la SF « alien » actuelle. Maintenant, nous pourrons y inclure sans aucun problème le Battle Los Angeles de Liebesman, car tel est l’objectif du film, faire tout l’opposé d’un film comme Independence Day. Ici point d’humour inutile, de patriotisme vomitif avec drapeau américain flottant malgré un décors de désolation, de militaires surhumains ou de civils chevronnés et casse cou. Ici le film se veut réaliste et y arrive parfaitement.

Le scénario est simple, ne s’embête pas de fioriture et va au plus direct. il se concentre sur le SSgt. Michael Nantz interprété par le toujours très juste Aaron Eckhart. De lui nous ne saurons rien si ce n’est qu’il comptait prendre sa retraire le jour même et que, comme tout militaire, dans le passé, il à pris des décisions, pas toujours bonnes.
Du reste de l’escouade, que nous découvrons en même temps que Nantz, nous n’en verrons rien ou juste rapidement les 24 petites heures avant l’assaut, cela évite les pseudo psychologies à deux balles dignes des mauvaises séries B.
Dès le départ, nous serons plongés au cœur de l’action et comme ces soldats, nous ne saurons que très peu de choses sur les aliens et sur leurs motivations, nous l’apprendrons en même temps que l’escouade. C’est d’ailleurs une des grandes force du film, se concentrer uniquement sur le côté humain et ne montrer en aucun cas le côté adverse, de ce fait, nous ne pouvons jamais savoir ce que l’ennemi fait ou va faire, mais surtout, nous voyons véritablement l’invasion mondiale à hauteur d’homme.
Certains diront que le scénario est creux et les dialogues inexistants voir caricaturaux, alors oui, le speech que fait Eckhart au gamin, on pouvait s’en passer, mais pour le reste, c’est du très bon et j’invite ces personnes à faire un tour en situation de guerre, nous verrons si elles ont le temps d’aller des phrases bien construites et développées, sur le terrain, l’on va à l’essentiel… De même les interactions entre les personnages sont simples, rapides et encore une fois réalistes.

Mais ne nous voilons pas la face, Battle L.A., avant d’être un film de Science Fiction, Battle L.A. est avant tout un film de guerre, un film de résistance. On pourrait sans problème dire que le film est un mix entre District 9, Black Hawk Dawn et Red Dawn. Mais attention, ici, l’utilisation du shaker à vraiment bien fonctionné car si l’on sent les influences de ces films dans le scénario de Christopher Bertolini (The General’s Daughter), dans la réalisation de Liebesman et les effets spéciaux d’Hydraulx (Skyline) elles ne virent jamais au plagiat ou à la référence.

Si l’on se base sur le fait que Battle L.A. est un film de guerre, l’on peut dire sans aucun problème que c’est un film de guerre plutôt réaliste, les munitions ne sont pas infinies comme dans d’autres films et se font même très rares, la soif, la faim, le stress et la panique se font sentir chez les personnages. Les militaires ne sont pas invincibles, ils ne sont pas de super pilotes, ce ne sont que de vulgaires bidasses qui feront leur possible pour rester en vie.

Au niveau de la réalisation, Liebesman s’est surpassé, il utilise la caméra à l’épaule et la shaky cam d’une façon exemplaire, du coup, toute les scènes d’actions, même si le découpage est rapide, pour montrer que sur le terrain, l’on à pas le temps de se poser à admirer le paysage, sont parfaitement lisibles, l’on est loin des bouillies visuelles d’un QoS ou d’un Transformers 2.
Le choix du format Scope est parfait, il permet non seulement d’avoir de magnifiques plans d’un Los Angeles complètement à feu et à sang comme seul un John Carpenter ou un Roland Emmerich en rêverait, mais il nous offre en plus tout le panorama disponible lors des batailles.
De même, le film est totalement dépourvu de cet habituel filtre oranger qui hante les films montrant L.A., ici, les couleurs sont naturelles dans sa petite première partie pour n’être ensuite que du gris tant il y à de la poussière dans l’air et des débris au sol.

Au niveau de l’ost, Brian Tyler, qui à déjà collaboré avec Liebesman sur Darkness Falls et The Killing Room est de retour. Il nous offre une ost très épique, plus proche par contre du film de science fiction que du film de guerre, avec de légers accents, lors des envolées, des morceaux de Two Step From Hell comme Heart of Courage ou le légendaire Freedom Fighters.

[castortroy11]

[Le loup celeste]

World Invasion: Battle Los Angeles de Jonathan Liebesman:

Au camp Pendleton, base militaire située à proximité de Los Angeles, un groupe de Marines, dirigé par le sergent Michael Nantz, est appelé à riposter immédiatement à l'une des nombreuses attaques extraterrestres qui touchent les littoraux à travers le monde...

Tourné comme un reportage de guerre, caméra à l'épaule et montage énergique à l'appui, "World Invasion: Battle Los Angeles" nous immerge de manière réaliste dans une invasion planétaire violente et sans concession, où nous suivons la mission d'une unité de Marines menée par le très charismatique Aaron Eckhart, lors de laquelle se succède à un rythme frénétique et durant deux heures, des affrontements militaires intenses agrémentés d'énormes morceaux de bravoure. Très immersif et ne laissant aucun moment de répit aux spectateurs, ce film de guerre saupoudré de fantastique est vivement conseillé.

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Mon Blog sur le 7e art : Le cinéma du loup
Mes installations HC : Principale (7.1.2) et secondaire (3.1)

[STIFLER]

t'ai bien ta critique, je vais le faire sous peu je pense

[Bashar]

Aie.
Nous fumes trois en arrivant au cinema, et trois nous fumes decus en sortant du cinema.
Pour faire court parce qu'il est tard et que le film ne merite pas davantage d'attention, le spectacle n'est pas du tout a la hauteur de la promesse et le message qui transpire le patriotisme pue comme une couche de la veille (un bonbon a celui qui trouve l'origine de cette citation). Ce n'est donc ni un film brillant ni un film distrayant. La realisation n'est pas terrible non plus. Apres le commissariat, on decroche.
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