Alice in Wonderland [2010]

[xanderross]

[castortroy11]

[YannH76]

Ca ne plombera pas la carrière du film... mais ça plombera les exploitants !
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DVD : 1107 / HD-DVD : 74 / Blu-ray : 176

[castortroy11]

Odeon rennonce au boycott apres avoir conclu avec Disney, je cite : "un accord satisfaisant".
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"-Everyone needs a hobby
-So what's yours ?
-Resurrection"

"Pourquoi tombons nous ? Pour mieux nous relever !"

[YannH76]

Ouai, comme dans la bataille HD, c'est à coup de $$$$ !!!
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DVD : 1107 / HD-DVD : 74 / Blu-ray : 176

[JAY C]

Vu ce matin... du pur Burton.... décors, effets,musique... splendide.

Le film n'a pourtant pas été tourné en 3D mais le résultat reste très agréable.

[aldarion06]

grosse deception !!!
pourtant a l'annonce du projet j'etait plus qu'enthousiaste, l'histoire d'Alice aux pays des Merveilles revisite par Tim Burton il y avait de quoi rever, j'esperais un melange de "poesie gothique" (a la Edward aux mains d'argent et Sweeney Todd) et de folie "Burtonienne" (comme Beetlejuice et Mars Attack), au lieu de cela j'ai vecu son Alice comme une indigestion d'ambiance guimauve a la naivete improbable et inatendu de la part du realisateur, quant a la "folie" elle se resume a queques scenes grotesques (la decouverte du Chapelier fou et sa dance finale), ce qui frappe aussi c'est la laideur du design et de certains effets speciaux (en tete les jumaux, la Reine Rouge et l'espece de dragon), niveau casting, la jeune actrice parait bien fade, Johnny Depp en fait des tonnes (a cote sa prestation de Jack Sparrow parait sobre), Anne Hathaway semble avoir confondu le tournage d'Alice aux Pays des Merveilles et Mars Attack, seule Helena Bonham Carter joue parfaitement son role
au final le film de Tim Burton semble etre plus une suite "live" du dessin anime de Disney ,en reprenant certaines sequences clefs, que d'une vraie adaptation personnelle, dommage ...

[Aboyeur]

au fait, cest visible par les enfants ( 8 ans ) ou pas ?

[hectopussy]

[Dark Vador]

Je comptais le voir et j'avais même été à ne pas voir la BA pour garder le plaisir de la découverte mais là, vous me refroidissez un peu...
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[xanderross]

« Alice in Wonderland » revue et corrigée par Tim Burton à toujours été un projet qui m’a fait peur. Pourquoi? Simplement parce que le bonhomme n’a rien réalisé de bien excitant depuis un bon moment. En fait son dernier film est pour moi Mars Attack. Depuis, il à non seulement perdu son cynisme mais sa folie, il est un peu à l’image de certains réalisateurs tels que Tarantino ou Kevin Smith qui ne font plus que répéter le même schéma, encore et encore, et tout cela avec une monotonie affolante.
De plus, savoir que le projet devait être à l’origine réalisé par Marylin Manson et se basant plus sur American McGee’s Alice était quand même foutrement plus bandant si vous permettez l’expression.
Le pire je pense, c’est de savoir que pour engranger un peu plus de pognon, Disney (à l’image de la Warner avec le prochain « Clash of the Titans ») à choisie de convertir le film en 3D, alors qu’il ne devait l’être à l’origine.

Synopsis (by Allociné):
Alice, désormais âgée de 19 ans, retourne dans le monde fantastique qu’elle a découvert quand elle était enfant. Elle y retrouve ses amis le Lapin Blanc, Bonnet Blanc et Blanc Bonnet, le Loir, la Chenille, le Chat du Cheshire et, bien entendu, le Chapelier Fou. Alice s’embarque alors dans une aventure extraordinaire où elle accomplira son destin : mettre fin au règne de terreur de la Reine Rouge.

L’idée de Linda Woolverton (scénariste de quand même « Beauty & the Beast » et « The Lion King ») pouvait paraitre assez audacieuse et j’avoue qu’elle paye. Car au lieu de reprendre simplement l’histoire du Alice de Lewis Carroll, la dame en fait plutôt une sorte de suite, s’inspirant donc naturellement de « Alice in Wonderland » mais aussi de « Through the Looking Glass » (pour le final du film). Et grâce à cela, Linda nous signe ici une magnifique histoire, l’histoire de tout le monde, celle du passage de l’adolescence à la vie adulte, celle de la mesure du poids des actes et de leurs conséquences, mais aussi le fait qu’un jour où l’autre l’on doit finir par s’assumer et ainsi avancer. Mais le problème viendra finalement de Tim Burton, mais le pourquoi va bientôt arriver.

Le film commence très bien, avec une magnifique introduction d’une quinzaine de minutes qui nous montre une Alice qui fait quasiment tout les soirs le même cauchemar et qui se voit réconforter par son père. Puis l’on saute une dizaine d’années pour retrouver une Alice de 19ans qui aimerait aller à l’encontre des règles de son époque.
Puis après une série d’évènements, Alice plonge de nouveau dans le trou qui va la transporter vers Wonderland, un Wonderland tout de numérique et sortit de l’imaginaire quelque peut vomitif de Tim Burton car c’est là que le bas blesse, toute la magnificence et la beauté de l’histoire s’en retrouve réduite à zéro par un design comment dire, moche si ce n’est ignoble, le manque de gout, le côté mi-beauf mi-gothique de l’ensemble fait simplement passer la décoration des appartements « made in » Valérie Damidot pour du travail d’amateur. Ajoutez à cela une 3D qui vous pètent les yeux (merci RealD 3D pour les lunettes passives qui explosent la rétine et le crane) et vous avez simplement le pire film de l’année d’un point de vue visuel… Même le final avec le Jabberwocky est ridicule, c’est dire.

Pourtant, quelques notes de beauté pure se détachent de toute cette énorme bouillie numérique, et notamment les personnages que sont le Cheshire cat, Bayard (le chien) et Absolem (la chenille) qui sont simplement magnifique. Ah oui, il y à en fait en dehors la très belle intro, 2 moments que j’ai trouvé beaux, en fait ce sont simplement le moment où Alice chevauche Bayard et le passage où l’on voit Bayard courir pour aller parler à la reine Blanche, il faut dire que c’est aussi les deux seuls moment ou Danny Elfman s’est trouvé inspiré pour la musique, car il faut dire aussi que lui aussi tombe dans le domaine de la répétition plus que laborieuse…

Alors là je vous vois venir, après avoir autant démonté l’aspect visuel et la musique du film, que pourrait-il critiquer?! Eh bien je pourrais en rajouter une couche sur certains acteurs, de Johnny Depp qui fait du sous Jack Sparrow sous acide à Helena Bonham Carter qui est comme d’habitude exaspérante et qui cabotine plus qu’un Nicolas Cage en roue libre en passant par Anne Hathaway qui à l’air complètement stone mais là aussi, heureusement qu’il y à des acteurs, tels que Stephen Fry, Michael Gough, Alan Rickman ou encore Christopher Lee qui, simplement grâce à leurs voix, montrent qu’il y à encore quelque chose de talentueux dans ce film. A noter Mia Wasikowska qui s’en sort très bien dans le rôle d’Alice mais qui à l’air limite d’une junkie avec ses cernes bleues sous les yeux.

Au final, une très belle histoire écrite par la Linda Woolverton mais qui entre les mains de Tim Burton, se retrouve totalement gâchée, ruinée… Sans doute ma plus grande déception de ce début d’année.

Ma note: 05/20 (pour le talents de certains acteurs et les 2 passages sur Bayard).
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Panasonic 50G20S / Yamaha RXV465 / Focal Sib & Cub² / PS3 slim 250Gb / X360S 250Gb

[olive]

un bon petit burton,sans plus ni moins...la 3D est sobre, les acteurs évidemment bon et l'adaptation correcte, idéal pour une séance avec les enfants (à partir de 9 ans...)
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