Rocky 6 : bande annonce finale

[Le Duc]

Agréablement surpris par le 6ème volet, je suis heureux de pouvoir vous conseiller ce Rocky Balboa. Ce film se veut avant tout un drame touchant sur la vieillesse, la vie, la mort, la famille et un peu la boxe.

Stallone demeure encore aujourd'hui le seul à écrire des films sans méchants. Ce dernier métrage, contrairement aux autres comme le navrant driven, vaut le détour!

Le Duc
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[Willem Belasco]

Moi qui étais bien décidé pour aller le voir, me voilà encore plus motivé et surtout bien impatient. Et dire qu'il me faut attendre jusqu'au 17 janvier.
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"You have never experienced Shakespeare until you have read him in the original Klingon"
Chancelier Gorkon (Star Trek VI The Undiscovered country)

[stefan]

[Willem Belasco]

Il m'avait semblé que sa sortie était programmée pour le 17, mais non, c'est pour le 24. Plus qu'une seule semaine à attendre... avec impatience.
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Chancelier Gorkon (Star Trek VI The Undiscovered country)

[Sypnos]

Dur de faire un simple compte rendu pouvant contenir tout ce que j'ai ressenti ce soir à la vision de Rocky Balboa.

J'ai découvert le personnage en étant tout gamin. Pour ce faire j'avais supplié ma mère pour voir le film en semaine un jour d'école puis le second par la suite dans les mêmes conditions...

Mon amour pour ce personnage et Stallone n'a alors jamais quitté ce petit coin de coeur et d'âme réservé à Rocky.

J'ai ainsi usé de multiples vhs à voir et revoir ces films qui comptent tous énormément pour moi alors voilà...

Quelques 16 ans après Rocky 5 et ce accompagné du même oncle qui à l'époque m'emmené pour la 3ème fois de ma vie voir un film au ciné je m'assoie dans la salle, j'attends que la lumière s'éteigne et que la magie opére...

La lumière baisse, je me retrouve dans le noir et la musique commence... Je n'avais ressenti une chose pareille depuis des années. Générique, le titre "Rocky Balboa" vient amplir l'écran.
Tout de suite le film m'a happé et ne m'a plus lâché jusqu'à la fin de la projection.

C'est tout bonnement la gorge serrée et les larmes aux yeux que j'ai eu la joie de retrouver ce qui faisait de ce personnage de boxeur tendre, humain et parfois emprunté le véhicule du courage et de la détermination toujours payante... Cette sublime idée que les rêves peuvent réussir si on ne baisse finalement pas les bras et s'accroche à ce qui a de l'importance, ce pour lequel on croit...

Loin des débauches guerrières des opus 3 et 4 Stallone va alors donner âu Sypnos gamin et au Sypnos adulte tout ce pour quoi il a aimé, aime et aimera toujours le personnage...

Stallone joue avec une justesse touchant au sublime un Rocky mûri, atteint par la vie qui au final retrouve de quoi avancer, et avancer encore malgré les coups, la mort des êtres chers et cet ennemi inéluctable qu'est la fuite du temps...

Pari amplement réussi car les personages et les situations font mouches. ( Ce bon vieux Polly ne changera donc jamais )
Même s'il est emprunt d'un esprit de nostalgie, Rocky Balboa ne fait pas dans la facilité et joue tout en sentiments à fleur de peau. Libre à nous alors de retrouver l'aspect craspec et perdu de ces quartiers paumés dans lesquels fleurissent tout de même l'amour et le respect de soi, de retrouver cette ambiance de fièvre lors des préparatifs et du combat final et de se dire que rien n'est fini tant que la cloche n'a pas sonnée.

Il a du être très dur à Stallone de mettre en scène cet ultime opus tellement on ressent à chaque image l'implication de l'acteur quant à son personnage fétiche. Catalyseur de toutes les questions qu'il a voulu mettre à plat avec cet opus, "Rocky Balboa" s'avère un parfait chapitre adulte et intelligent pour clore en beauté ce qui est une des plus belles sagas du cinéma...

De l'égo il en faut, mais c'est beaucoup plus que du courage qu'il faut pour se remettre en question et penser au film de toute une vie...

Merci Rocky Balboa, Merci Sylvester Stallone, vous me manquiez... vous restez en mon coeur.

[KLANK]

superbe CR on est bioen loing des ricanements moqueur de certains, que j'entends encore, il va etre ridicule ou alors pffffff à son age....

Suis sur que c est une tuerie
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http://klank.canalblog.com

[Dark Vador]

Agréable surprise, Sylvester Stallone est vraiment touchant dans ce film qui montre que la vieillesse n'est pas une fin en soi.
On retrouve l'esprit du premier et on se prend à vouloir se lever et crier "Allez Rocky" pendant le combat final!
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[KLANK]

bon bha je me saignerais un repas mais j irais le voir
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[Dark Vador]

[Vic Vega]

Il faut que je me bouge pour aller le voir,il a l'air pas mal,les critiques sont bonnes
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[dada]

Vu hier et ... comment dire... touché, très touché . Ici la boxe est accessoire ainsi que la victoire contre l'adversaire . La vraie victoire est contre soi-même , la viellesse, la mort, la maladie, la solitude.
Il clôture une saga commencée il y a 30 ans et dont la magie opère encore sur cet ultime épisode ( j'ai ressenti des frissons lors du combat final et du fameux thème de Bill Conti ). Stallone prouve (enfin ) ses doubles talents d'acteur (si si ) et de réalisateur .
Une seule chose à dire : allez-y .
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Les années laser numéro 200


mes créations en animation 3D

[KLANK]

enfin ses doubles talents d'acteur......

moi je le trouve bon acteur
Rocky 1, rambo 1, cliffangher, copland, c'est djà bien mieux que certains acteurs qui font que de la daube en 30ans non non pas de nom sur les ondes
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[dada]

Ses doubles talents d'acteur ... et de réalisateur .
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Les années laser numéro 200


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[Willem Belasco]

J'adore le personnage de Rocky et ce même si certains volets de la saga n'apportent pas franchement quelque chose à l'évolution du personnage.
J'ai vibré à tous ses combats et j'avoue que 16 ans après Rocky V, j'étais plus qu'impatient à l'idée de retrouver l'étalon italien.

Je ne vais pas répéter ce qui a déjà été dit par d'autres passionnés.
Je me contenterai de dire que ce film clotûre magnifiquement la saga. On aurait pu craindre que Rocky Balboa serait LE film de trop, et bien pas du tout.
Rocky Balboa est émouvant et touchant et on sent bien à quel point Stallone s'est investi dans l'interprétation, pour la dernier fois, de son personnage fétiche. Il y avait une sincérité dans ses yeux qui ne pouvent laisser indifférent.

Rocky Balboa... un très bon et beau film.
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[KLANK]

donc à l'unanimité un gros coup de Coeur et une belle surprise de ce début d'année 2007...


Espérons que le Rambo abonde dans se sens
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[Vance]

Un film étonnant, où Sylvester reprend le cadre du premier Rocky et le réinterprète de façon sincère et convaincante : avec beaucoup d?acuité et d?émotion contenue, il dresse le portrait d?un homme meurtri mais encore solide, s?accrochant à ses principes sans jamais y déroger, continuant à avancer tout en se reposant sur les siens. L?inusable Pauly n?a rien perdu de sa verve, même s?il accuse également le coup face à la mort de sa s?ur. Et lorsque Rocky rencontre une femme surgie de son passé, il l?abordera avec une décence et une naïveté confondantes. Et alors qu?il décide de rebondir pour mordre à nouveau dans la vie, survient l?impensable proposition : un combat d?exhibition face au champion du monde. Bien entendu, le fils de Rocky, qui se plaint de vivre à l?ombre d?une idole à la gloire déliquescente, désapprouve ce projet. Mais ce n?est pas ce qui fera reculer l?indéracinable Balboa.

Alors on reprend les schémas enthousiasmants des anciens films, tous revisités et rappelés (extraits, clins d?oeils, photos, souvenirs), et sur une musique enlevée de Bill Conti ? dont le thème n?a jamais été aussi jubilatoire - , Rocky reprend l?entraînement, à la « dure », à l?ancienne, se préparant pour le chant du cygne forcément spectaculaire. On ne peut, du coup, surtout si l?on a connu les anciens opus, que se laisser emporter par l?excitation du combat à venir et la noblesse désinvolte de cet homme un peu balourd mais jamais niais, sans s?arrêter sur les petites facilités qui parsèment le métrage, les quelques ralentis inutiles et des situations prévisibles. Peut-être regrettera-t-on la brièveté de l?affrontement. Mais au final, on ne peut qu?être séduit.
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Marge: This is the worst thing you've ever done.
Homer: You say that so often that it lost its meaning.

[Willem Belasco]

Au fait, l'un des nombreux clins d'oeil au premier Rocky... les deux tortues de Rocky qui, si je me souviens bien, se nommaient Bouton et Pression, non ?
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[Lorenzo007]

Il a fallu attendre plus de quinze ans pour que le boxeur le plus touchant de l'histoire du cinéma revienne sur nos écrans. Pourtant, le pire était à craindre : le cinquième épisode était tellement mauvais que tout le monde avait peur que Stallone s'en inspire, et les 60 ans de l'Etalon Italien risquaient d'enlever toute crédibilité à ce Rocky Balboa. Fort heureusement pour les fans de la saga et pour les simples cinéphiles, ce grand retour est loin d'être un ratage, il enterre profondément un cinquième opus de sinistre mémoire.
Veuf et has been total, Balboa décide de renfiler les gants pour un ultime combat de boxe face au champion du monde des poids lourds contre lequel ses chances de victoires sont nulles. Cependant, Rocky VI est plus une superbe leçon de vie qu'un film sur la boxe.
Malheureusement, Stallone n'a pas pu éviter certains clichés (Dixon est un gangsta-boxeur qui roule en Ferrari tunée et écoute du rap à plein tubes; ou encore les relations père-fils qui se renouent pour de bon alors qu'elles furent houleuses auparavant) mais son film est rempli d'émotion, de nostalgie, de fraîcheur et de sensibilité. Sa performance d'acteur est phénoménale en plus de réussir sa mise en scène avec brio.
Un dernier round qui fait plaisir à voir et qui confirme que Stallone est loin d'être fini.

8/10
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Les critiques presses ne savent pas de quoi elles parlent, elles méritent que je leur donne des leçons de cinéma !

[Willem Belasco]

En fait, quand on y réfléchit, Stallone s'est surtout inspiré de Rocky IV , lorsqu'Appolo Creed, ne supportant plus de ne plus être au top, oublié du public, veut encore faire ses preuves en combattant Ivan Drago.
Si l'on reprend le discours d'Appolo Creed pour convaincre Rocky de le laisser combattre Drago en combat d'exhibition, on réalise que c'est ce que ressent Rocky dans ce sixième opus.

Peut-être est-ce là une fatalité, un passage obligé pour les grands boxeurs "à la retraite".

Au fait, j'ai remarqué de beaucoup n'avait pas apprécié Rocky V. Je l'ai bien aimé moi ce film. Justement parce qu'il proposait non seulemnt autre chose que les précédents opus, mais aussi un retour aux sources.

Quoiqu'il en soit, on se demande bien comment, avec le dossier médical désastreux de Rocky (cf. Rocky V) il a pu récupérer sa licence en simeplment passant des tests. Mais bon... un détail qui ne m'a pas déranger outre mesure.
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[Le Duc]

Effectivement le dossier médical aurait du l'exclure. Rocky 6 aurait pu être un film où un vieil act...boxeur fini, souffrant de parkinson, décide de remonter sur le ring et de donner des coups de têtes frénétiques à son adversaire, mais heureusement il en est rien.

Vivement le DVD...
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