[DVD - BRD - etc...] Derniers Visionnages

[lebow]

J.Edgar : je rattrape un peu le retard sur la filmo d'un des acteurs que je préfère (manque encore Gatsby).
Di Caprio nous sort une prestation solide sur un personnage incontournable des Etats Unis et que je ne connaissais pas du tout, film intéressant et qui nous apprends un peu comment est né le FBI.
Ne restera pas dans les annales mais visionnage sympa quand meme.
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[Sypnos]

[lebow]

Pareil le courage me manque depuis un bail mais ne pas avoir vu un film du maitre Eastwood et l'un des plus grands acteurs de sa génération Di Caprio réunis pour moi n'était plus possible .

Je me suis malgré tout pas ennuyé.
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[Dark Vador]

Très bonne interprétation de Di Caprio (comme toujours je dirais ) & Mr Eastwood réalise un bon biopic, j'ai même appris des choses sur le personnage, par contre, toujours pas revu depuis le ciné malgré que j'ai le Blu-Ray.
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[lebow]

C'est clair il fait partie des acteurs que j'apprécies énormément, une filmo assez conséquente et sans trop de rater.

Et ce n'est pas le loup de Wall Street qui a mon avis va changer les choses, meme si ce n'est qu'une BA ca annonce un tres grand Di Caprio
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[rick deckard]

Les oiseaux, Hitchcock, je ferais une petite revue

[Sypnos]

[Dark Vador]

"Les Deux Tours ", grosse claque comme d'habitude & toujours cette quasi perfection technique du support Blu-Ray, plus qu'à revoir "Le Retour Du Roi" pour terminer en beauté!
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[lebow]

La ligne verte : Enieme visionnage et toujours aussi prenant, Tom Hanks nous livre encore une belle performance un peu comme DiCaprio un acteur que j'apprécie aussi beaucoup, le reste du casting est juste parfait.
Un film de 3 heures qui pour moi en parait moitié moins me plongeant sans aucun mal dans le film.
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[rick deckard]

[Sypnos]

[SHREK83]

[rick deckard]

Tu chipotes là !

[SHREK83]

[Sypnos]

[Lorenzo007]

Le Parrain

Il faut avouer qu'il est très difficile de parler du début du triptyque de Coppola sans passer par les superlatifs habituels pour finalement dire une chose sur laquelle tout le monde est d'accord : c'est un monument absolu de l'histoire du cinéma.
Et pourtant, tout commençait très mal. Coppola ne voulait pas faire le film, prétendant que de rendre des gangsters sympathiques. Les craintes du cinéastes sont bien fondées puisque même en acceptant de le tourner, il ne pensait pas vivre un tournage aussi chaotique, à cause de la Paramount qui n'avait aucune confiance en lui au point de lui coller un adjoint au cas où il se ferait virer du jour au lendemain.

Mis à part ces quelques détails, un accouchement douloureux, un succès financier et critique incroyables, on peut enfin "analyser" cette oeuvre de plus près.
Contrairement à ce que tout le monde pense, Le Parrain n'est pas un film mafieux, c'est avant tout une saga familiale, celle de la famille Corleone, qui n'est ni plus ni moins que le reflet de la famille Coppola. Et oui, Francis y a mis son propre vécu, la longue scène du mariage du début (les cinéastes du Nouvel Hollywood sont très branchés mariage) ou encore toutes les séquences de la famille réunie autour d'une bonne table sont des grands moments de cinéma mais sous un aspect documentaliste impressionnant. Même les personnages sont ceux que l'on rencontre dans n'importe quelle famille : Michael l'intello timide, Sonny le cogneur, Connie la vénale, et j'en passe...
Ce qui fait la grande force du film, c'est voir à quel point une famille aussi puissante se décompose, via des frustrations, des trahisons, grâce à une puissance visuelle et scénaristiques exceptionnelles, et cela se ressent dans chaque plan qui frôle la perfection (qui sera atteinte dans le deuxième volet) ou encore par le jeu des acteurs. Rien que la fameuse séquence du resto, il suffit de voir le regard perçant de Pacino ou ses joues bouger, il se dit que sa propre descente aux enfers va commencer à ce moment-là, et c'est juste grandiose, tant l'intensité émotionnelle reste intacte, en plus d'instaurer une tension tout simplement insoutenable.
Et que dire de cette dernière demi-heure et ces règlements de compte en pagaille, séquence qui a dû inspirer Scorsese pour Les affranchis et Casino.
Plus de quarante après sa sortie, le film de Coppola reste d'une importance considérable dans le paysage cinématographique.


Techniquement, le Blu-Ray est à posséder absolument !
Restauré en 4K, la copie retrouve ses vraies couleurs, fini le flou et le noir quasi absolu du tout premier coffret DVD, la HD rend honneur au film et aux choix esthétiques de Gordon Willis. Même si certains points blancs demeurent, cette copie ultra détaillée et respectueuse du grain d'origine s'impose comme étant la meilleure à ce jour, c'est tout simplement sublime !
Pour le son, une piste True HD pour la VO dont le volume nécessitera une légère augmentation, car certains dialogues peuvent paraître quelques fois trop justes, mais l'ensemble bénéficie d'une belle spatialisation et la musique de Nino Rotta trouve une nouvelle jeunesse.
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Les critiques presses ne savent pas de quoi elles parlent, elles méritent que je leur donne des leçons de cinéma !

[Sypnos]

Tes C.R. méritent bien un post distinct ou d'être rattaché au post du film déjà créés vu le temps que tu passes à décortiquer l'ensemble.

[Lorenzo007]

[lebow]

En effet tres bon CR
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[Dark Vador]

Très bon CR en effet, je l'ai mais toujours pas regardé, j'ai jamais vu cette trilogie...
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