Pain and Gain [2013]

[Fantomas2016]

[SHREK83]

[hanz landa]

[chicken run]

[SHREK83]

[chicken run]

Syllogisme :

Les cinéphiles exigent une piste en HD sur les bluray

Tous les bluray proposent déjà une piste HD mais en VO
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Ergo les cinéphiles sont contre la VO




.... de là mon amusement de voir des films avec un titre "anglicisé" (sic), comprendre doublement converti en anglais, dans un pays hostile à la langue de Shakespeare.... et qui en a fait la belle démonstration précédemment....

Fin de la parenthèse. retour au film... que je n'ai pas vu d'ailleurs....
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Idiophile depuis 1995

[SHREK83]

[Lorenzo007]

J'ai beaucoup aimé et pourtant, j'ai eu du mal à rentrer dedans durant la première heure, comme si je n'avais pas réellement saisi ou Bay voulait aller.
Mais dès qu'il entame son bal d'humour noir et de séquences trashouilles bien trouvées (c'est le seul point commun avec Bad boys II d'ailleurs), il prouve qu'il faire autre chose que de gros blockbusters destinés à un public de masse.

Et si ce très bon exercice de style est probablement son meilleur film à ce jour, c'est parce que le bonhomme semble enfin trouver son vrai style.
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Les critiques presses ne savent pas de quoi elles parlent, elles méritent que je leur donne des leçons de cinéma !

[Sypnos]

Je viens de le visionner et je dois dire que je me suis franchement bien marré grâce à cette équipe de gros bras cassés. Ils sont tous excellents mais je trouve que Dwayne Johnson est le plus hilarant de tous.

Une belle réussite dans l'humour noir et une photographie comme d'habitude chez Bay ultra riche en couleurs et saturation.

Niveau mise-en-scène on retrouve ce qu'on aime ou déteste chez Bay à savoir des plans improbables aidés par le numérique, des caméras virevoltantes autour des comédiens et ses fameux plans de groupe qui rappellent à coup sûr Armageddon.

Le tout est fun, violent un brin idiot à première vu et pourtant très critique envers la société américaine si on y réfléchit bien.

8/10

[chicken run]

C'est marqué sur la jaquette : "Le meilleur film de Michael Bay"... Pas difficile vu tous les navets qu'il a commis depuis Bad Boys son dernier bon film....
Ce type a enchainé les bouses commerciales, alors ce film c'est carrément un ovni dans sa cinématographie !!!!

Etonnant de voir comment ce réalisateur que je ne pensais finalement capable que du pire a pu livrer un film pareil, bijou d'humour noir et de références carrément hallucinantes aux plus sombres films de truands....
Etonnante scène que celle d'un homme qui vient de commettre l'irréparable et qui se tourne vers son partenaire l'air fébrile pour lui dire : "Faut que je fasse ma séance de muscu" !!!
Ce film est un voyage à travers la connerie, il décrit sans jamais dépasser la caricature originelle des personnages principaux, les pires travers de l'être humain et ce que sont capables de commettre des monstres sans cervelle créés par la société moderne de consommation qui prône l'apparat : "Je veux tout ce que tu as"...
On suit avec une véritable jubilation (un peu coupable quand même) les tribulations de ces pieds nickelés emmenés par un chef aussi bête qu'un lézard à qui on a coupé la tête : C'est bien la première fois que je vois dans un film la mention "tirée d'une histoire vraie" s'incruster à l'écran au début du film... mais également après 1h30 de métrage au terme d'une scène tellement énormequ'on ne peut que penser qu'elle sort de l'imagination d'un scénariste de Hollywood alors qu'en fait il s'agit bien d'un élément factuel !!!!
Hallucinant.... on se pince pour y croire.
Le générique de fin fort bien réalisé est d'ailleurs là pour nous rappeler que la réalité dépasse souvent la fiction....

Mark Wahlberg qui finira bien par obtenir la consacréation et la reconnaissance à la mesure de son talent (qui a explosé dans le film "Boogie Nights") livre ici avec une justesse étonnante un personnage jusqu'au boutiste impressionant de ténacité et de persévérance dans son entreprise : Celle d'être au sommet, au dessus de tous les autres !
Scène carrément surréaliste ou il enseigne à des gamins sa vision du sport et des rapports humains.
Pour le rôle il s'est taillé un corps à la mesure de celui qui partage l'affiche avec lui, Dwayne "grosse montagne de muscle" Johnson qui montre ici qu'il est capable de jouer la comédie avec justesse...
Tout ça donne en tout cas une furieuse envie de retourner à la salle !!!

Véritable entreprise de propagande, ce film livré par le plus patriote des cinéastes américains n'évite cependant pas le message moralisateur lourdingue. Au delà de la virtuosité technique de l'ensemble et plus particulièrement de certaines séquences qu'il est le seul à maitriser aussi bien (et notamment le plan séquence tournoyant entre 2 pièces d'une maison qu'il avait initié dans Bad Boys 2, une pure merveille, une trouvaille de génie), et de l'humour très noir qui ne va pas convenir à toutes les sensibilités, il est donc dommage de trouver ce rappel aux valeurs d'un pays qu'il illustre pourtant à longueur d'année jusqu'a l'indigestion dans ses autres productions....
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Idiophile depuis 1995

[hanz landa]

Quand t'es pas condescendant ni agressif, t'es un régal à lire Chicken !
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Moi quand on m'en fait trop, j'correctionne plus, j'dynamite...j'disperse...et j'ventile...

[Dark Vador]

C'est clair, j'ai vraiment pris plaisir à lire son CR.
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