C.R. et test du SONY VW 40

[Projo’s Lair]

L'appareil :

3/4 arrière



Haut :



Panneau de connectique :



Vue rapprochée connectique :



Panneau de commande déporté sur la coque :



Les menus :

Les possesseurs de VW 50/VW 60 ne seront pas dépaysés













Donc voilà, j’ai pu tester pendant une heure trente, le SONY VW 40 dans la salle dédiée de mon ami Richard que je remercie chaleureusement au passage. Les conditions de tests : source toshiba HD EX1, liaison HDMI sur écran à gain 1.5 à une distance de visionnage de 2m80 environ. Liaison HDMI. Les extraits de films choisis sont les suivants : LE PRESTIGE et BLADE RUNNER en HD DVD et un disque de démo SD avec des extraits de KILL BILL 2, Le SEIGNEUR DES ANNEAUX 1, PIRATE DES CARAIBES 1, MISSION. Pour la partie technique vérification shading, convergences, gamma et réglages d’usine nous nous sommes servis du DVD de test AVIA.

Il s’agit d’un appareil de démonstration aimablement prêté par SONY , nous en sommes les premiers bénéficiaires, la lampe est à «0 ».

Sur l’appareil, rien de bien nouveau sous le soleil. La coque est similaire à celle du SONY VW 50 et la télécommande identique à celle du VW 60. La livrée blanche est moins tape à l’œil que l’écrin noir du VW 60 de Richard. SONY a conservé sur le VW 60 l’excellent réglage pas à pas du focus (heureusement que ce n’est pas celui du VW 50 qui était lui un vrai casse tête). L’installation est ainsi aisée, avec sa focale courte les 3 mètres de distance de l’écran permettent sans problème (il reste de la marge) de remplir les 2 mètres 20 de base de l’écran du propriétaire des lieux.

Le lens shift vertical est toujours présent avec la même amplitude que ces prédecesseurs. Au rayon connectique, deux prises HDMI sont offertes + 1 entrée vidéo, 1 s-vidéo et un entrée composante.

Bruit de fonctionnement : il est particulièrement discret que ce soit en mode lampe, haut ou bas.

Un iris dynamique vient renforcer le contraste natif du projecteur, qui n’en a pas besoin (je l’ai testé principalement avec l’iris débrayé avant de le mettre en action en fin de matinée). Après une rapide installation passons aux tests : avec le HD DVD LE PRESTIGE, l’image nous apparaît particulièrement bien équilibrée, en mode cinéma sans iris. Les noirs sont débouchés et les couleurs, tons chairs et blancs fidèlement reproduits. Le passage par les mires d’avia viendra nous confirmer l’excellent travail d’usine qui a été réalisé en mode cinéma puisque le vw 40 passe avec succès toutes les mires de tests.

Pour rester dans les domaines qui nous intéressent et pour couper court à tout débat sur l’apparition d’un quelconque shading. Des mires grises permettent de se rendre compte que notre exemplaire ne souffre d’aucune dérive de couleur et ce sur l’ensemble de l’image. Bref là aussi SONY a bien travaillé en conservant les acquis du SONY VW 60.

Overscan, là aussi, celui-ci est réglable en le mettant en position O vous ne perdrez aucune partie de votre image.*

Impressions subjectives sur le SONY VW 40 :

Sources SD :

Concentrons nous tout d'abord sur la restitution des sources DVD SD. Sortant du BenQ W5000 et de l'excellence de son traitement vidéo HQV, le SONY VW 40 a du mal à tenir la comparaison. Néanmoins les extraits de films bénéficient du lissage de l'image SXRD, ainsi pas de mauvaises surprises sur l'ensemble des extraits visionnés. Dans le passage de grotte de la Moria en mode cinéma, lampe basse, tous les détails sortent de l'image. La gestion du gamma d'usine de la même que la colimétrie nous semblent particulièrement bien réglés. A aucun moment sur tous les extraits visionnés (dvd pal) les noirs ne nous ont semblé bouchés. En basculant respectivement en mode iris off ou on, le gain n'est pas particulièrement probant. Personnellement je penche pour l'utilisation du projecteur iris off, le contraste natif étant excellent. Le rapport luminosité/contraste dans ce cas de figure sied particulièrement à mon oeil.

Sources HD :

Le point fort bien évidemment de ce projecteur, sortant d'un DLP FULL HD je suis encore une fois surpris par la différence d'image. Visionner un SXRD SONY c'est un repos pour les yeux, même si le BENQ W 5000 ne m'a agréssé les rétines comme les OPTOMA HD 80 et 800X de triste mémoire, l'image du SONY est beaucoup plus reposante. Un marathon HC enchaînant les films serait pour moi envisageable avec le VW 40, ce qui n'était pas possible avec un DLP FULL HD.

Nous avons d'abord commencé, à ma demande par le prestige, film de test que je connais bien et dont certaines scènes permettent de mettre en évidence la qualité (ou à l'inverse l'effet de pompage d'un iris). SONY a été un des premiers constructeurs à se servir d'un iris dynamique pour améliorer la valeur de contraste de ses projecteurs. Dire qu'il maîtrise la technique est un lieu commun. Aucun effet de pompage n'est visible à l'image dans les passages sous la scène du prestige, le film alternant plan lumineux et plan sombre, il permet de s'apercevoir que le fonctionnement de l'iris en mode 2 auto est imperceptible.

Sur les PLAN LARGE de BLADE RUNNER, les meilleurs résultats à l'image sont obtenus dans le mode suivant : cinéma + iris auto 2 + lampe mode haut. La luminosité conjuguée à un excellent contraste et surtout un master HD de toute beauté, me ramènent en 1982, année où j'ai découvert ce film sur grand écran. Cette ambiance LOS ANGELES CYBERPUNK est parfaitement reproduite par le petit SONY.

Nous passons ensuite au HD DVD de ROBIN WILLIAMS, LIVE AT THE ALBERT HALL, des couleurs à foisons, transforment l'écran de Richard en festival de couleurs, de bien belles saturations comme je les aime. J'en profite pour préciser que nous étions en mode couleur normal et non étendu.

La fluidité est impeccable, je cherche le bug de tearing commun au VW 50 sans en apercevoir la trace sur tous les extraits 1080p testés.

Points forts :

Netteté (par rapport au VW 50)
Contraste natif excellent
Couleurs et gamma bien réglés d'usine
Prix réel
Silence de fonctionnement
Positionnement aisé
focale courte
bonne luminosité
pas de shading

Point faible :

traitement vidéo interne des sources sd


Conclusion : Le SONY VW 40 est un pavé dans la mare et un gant jeté à la concurrence LCD actuelle, dans la même gamme de prix on trouve les PANA PTAE-2000, EPSON TW 2000. Aucun de ces deux modèles ne peut garantir une absence de shading et un contraste natif équivalent à celui du VW 40. Le nouveau venu de la marque à corriger les erreurs du SONY VW 50 en bénéficiant de l'expérience apportée par le SONY VW60. Certes la cure tarifaire s'accompagne de la perte de quelques options comme le réglage fin des convergences, mais les progrès réalisés en netteté (transformation du bloc optique) permettent de pouvoir envisager l'avenir avec sérénité. Bonne idée SONY a également conservé sur son dernier né le réglage pas à pas du focus, reléguant aux oubliettes les mauvais souvenir du réglage approximatif du focus du SONY VW 50.

Bref le SONY VW 60 reste en tête, à un tarif supérieur, mais le VW 40 permet de s'adonner aux joies de la projection à domicile avec un projecteur homogène sur quasi tous les points testés à l'exception du traitement vidéo des sources SD.
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Impressions subjectives sur le SONY VW 40 :

Sources SD :

Concentrons nous tout d'abord sur la restitution des sources DVD SD. Sortant du BenQ W5000 et de l'excellence de son traitement vidéo HQV, le SONY VW 40 a du mal à tenir la comparaison. Néanmoins les extraits de films bénéficient du lissage de l'image SXRD, ainsi pas de mauvaises surprises sur l'ensemble des extraits visionnés. Dans le passage de grotte de la Moria en mode cinéma, lampe basse, tous les détails sortent de l'image. La gestion du gamma d'usine de la même que la colimétrie nous semblent particulièrement bien réglés. A aucun moment sur tous les extraits visionnés (dvd pal) les noirs ne nous ont semblé bouchés. En basculant respectivement en mode iris off ou on, le gain n'est pas particulièrement probant. Personnellement je penche pour l'utilisation du projecteur iris off, le contraste natif étant excellent. Le rapport luminosité/contraste dans ce cas de figure sied particulièrement à mon oeil.

Pour les afficionados de la théorie des fourmillements sur le BenQ W5000, ils devraient visionner le passage de KILL BILL 2 ou THE BRIDE s'oppose à l'épée à son instructeur asiatique sur le VW 40. Les fonds de l'écran sont remplis de grésillement, du bon grain. Fin du H.S.
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Sources HD :

Le point fort bien évidemment de ce projecteur, sortant d'un DLP FULL HD je suis encore une fois surpris par la différence d'image. Visionner un SXRD SONY c'est un repos pour les yeux, même si le BENQ W 5000 ne m'a agréssé les rétines comme les OPTOMA HD 80 et 800X de triste mémoire, l'image du SONY est beaucoup plus reposante. Un marathon HC enchaînant les films serait pour moi envisageable avec le VW 40, ce qui n'était pas possible avec un DLP FULL HD.

Nous avons d'abord commencé, à ma demande par le prestige, film de test que je connais bien et dont certaines scènes permettent de mettre en évidence la qualité (ou à l'inverse l'effet de pompage d'un iris). SONY a été un des premiers constructeurs à se servir d'un iris dynamique pour améliorer la valeur de contraste de ses projecteurs. Dire qu'il maîtrise la technique est un lieu commun. Aucun effet de pompage n'est visible à l'image dans les passages sous la scène du prestige, le film alternant plan lumineux et plan sombre, il permet de s'apercevoir que lefonctionnement de l'iris en mode 2 auto est imperceptible.

Sur les PLAN LARGE de BLADE RUNNER, les meilleurs résultats à l'image sont obtenus dans le mode suivant : cinéma + iris auto 2 + lampe mode haut. La luminosité conjuguée à un excellent contraste et surtout un master HD de toute beauté, me ramènent en 1982, année où j'ai découvert ce film sur grand écran. Cette ambiance LOS ANGELES CYBERPUNK est parfaitement reproduite par le petit SONY.

Nous passons ensuite au HD DVD de ROBIN WILLIAMS, LIVE AT THE ALBERT HALL, des couleurs à foisons, transforment l'écran de Richard en festival de couleurs, de bien belles saturations comme je les aime. J'en profite pour préciser que nous étions en mode couleur normal et non étendu.

La fluidité est impeccable, je cherche le bug de tearing commun au VW 50 sans en apercevoir la trace sur tous les extraits 1080p testés.
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Et voilà, la version définitive du test est lisible sur le premier topic.
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[albo]

Et un autre excellent test détaillé sur Cinémotion

http://www.cinemotion.biz/informacion.php?iinfo=556

Alain

[DTSman]

alors albo, tu as craqué?
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[albo]

[albo]

Reçu depuis un moment déjà; bel objet, belle image.

Quelques screenshots du film de la soirée

"Reviens moi" film Anglais
Très belle photo naturelle et bon film








Alain

[DTSman]

Sympa le rendu video des SXRD, non?
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