LE PRESTIGE : SUSPENS ET MAGIE ...

[SAMY]

Je viens de voir le prestige, avec Hugh Jackman, Christian Bale et Scarlett Johansson . Le film est passionnant du début à la fin et riche en rebondissements .
Une excellente surprise . Je vous le conseille vivement
De plus, on profite d'une bande annonce assez longue sur ERAGON et DEJA VU . Cool !

[Le Duc]

Un excellent film en effet! Un très bon moment de cinéma.
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[Stanley Ipkiss]

Ca faisait longtemps que je l'attendais et je 'ai pas été déçu : superbe film (décidément je vois un super film par semaine en ce moment )

Malgré une fin un poil décevante, un grand moment de cinema!
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"moi les voitures je suis contre.A cause de la...........pollution"

Bill clinton a le droit d'embrasser les employés de son parti mais pas les parties de ses employées

-4th MEMBER OF CDN-

[Le Duc]

Ah non quelle finale. Enfin une final en phase avec le reste du film...ENFIN!!! J'étais tout sourire à ma sortie de la salle...
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[Stanley Ipkiss]

[SAMY]

Le casting est trés réussi et l'atmosphère de l'époque est trés bien reconstituée .

[TWIN]

Le meilleur film de Christopher Nolan à ce jour, et c'est pas peu dire.

Fondé sur une structure narrative au départ apparemment alambiquée et inutilement nébuleuse, ce jeu de flashbacks et de flashforwards, d'avants et d'arrières, ne devrait pas surprendre ceux qui ont vu et estimé l'impact formel de MEMENTO (des plus déstabilisants) et de BATMAN BEGINS (du moins dans sa première heure, le reste étant beaucoup plus linéaire) et, surtout, se révèle infiniment judicieux au fur et à mesure que l'on progresse dans le récit et que l'on est amené à penser des événements qui se déroulent tout en en connaissant les conséquences à venir et leurs ancrages passés.

Porté par un casting simplement monstrueux (les seconds rôles sont tous stupéfiants), notamment les deux têtes d'affiche, surprenantes d'humilité dans leur jeu et dont le poids qu'elles acquièrent au fil de l'oeuvre révèle une force ainsi qu'une malice iconique (on est quand même devant Batman et Wolverine) particulièrement jouissives, LE PRESTIGE joue constamment sur la thématique du chiffre 2, du double, de la dualité ? à croire que Nolan poursuit une quête thématique après BATMAN BEGINS ? et n'hésite pas à renverser et renverser encore les statuts et les rôles tout le long du film. Rien n'est tout blanc ou noir, et aucun n'est plus gentil ou moins méchant. Les deux hommes se renvoient constamment la balle au sein d'un jeu fascinant de respect, d'envie, de compétition et de vanité.

Ancré dans un contexte au charme scénique irréprochable (l'atmosphère légèrement fantastique d'une époque charnière ? l'année 1899 n'est pas anodine ? qui abandonne les croyances païennes au profit d'une foi sans borne en la science et, notamment, l'électricité), LE PRESTIGE est un formidable tour de passe-passe au sein d'un univers de spectacularisation, où les magiciens sont les stars du rock d'aujourd'hui et les vitrines de l'art populaire par excellence, par encore éclipsées par un cinéma naissant.
Outre sa réalisation intrinsèque inspirée, ses acteurs passionnants et son récit fabuleux, LE PRESTIGE réussit l'exploit de se construire comme un long et entier tour de magie. Retenez bien le tout premier plan et les tous premiers mots qui ouvrent l'oeuvre. Avez-vous bien regardé ? Car lorsque le dernier acte du film, qui aura suivi tout un processus de dupe (mais jamais de tromperie) révélera le prestige, le lever de rideau vous aura depuis bien longtemps époustouflé !

LE PRESTIGE est au final est pur jeu cinématographique qui nous modèle une réalité pour mieux nous la remodeler au fil de l?enchaînement des plans dans une jubilatoire optique mystificatrice. Ca longtemps que je n?avais pas été aussi friand de me prendre à un jeu aussi intelligent, complexe et obsessif. Du très grand cinéma de divertissement ? que dis-je ? ? de « spectacularisation » !
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ECRAN ► Plasma Panasonic Viera TX-P50VT20 | BD/DVD/CD/HDCD/SACD/DVD-A ► Oppo BDP-93 |
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ENCEINTES STEREO ► Triangle Genèse Quartet |

[Le Duc]

Twin...ta courte critique est en soit magique puisqu'elle m'a donné le goût de revoir le film sous peu...

Le Duc
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[Hélène]

Génial!
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Californication... série jouissive et ultra drôle ! ^^

[Willem Belasco]

J'hésitais à aller le voir, mais après vous avoir lu, il serait dommage de manquer ça.
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"You have never experienced Shakespeare until you have read him in the original Klingon"
Chancelier Gorkon (Star Trek VI The Undiscovered country)

[Hélène]

[TWIN]

[gav]

je serais bref : je retourne le voir une seconde fois !
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" Les avis, c'est comme les trous du cul, tout le monde en a un " l'Inspecteur Harry (Clint Eastwood)

[Vance]

Le Prestige, de Christopher Nolan (2006)

Avec ce film, le réalisateur de Memento et de Batman Begins signe son manifeste pour le cinéma : le parallèle est en effet évident, notamment lorsqu?on entend les dernières paroles d?Angier qui estime que tout spectacle est fondé sur une duperie acceptée par les spectateurs. Une thèse défendue par certains théoriciens du 7e Art. A travers un récit déconstruit mêlant présent et passé avec virtuosité, se servant des carnets de l?un et de la transcription de l?autre, on suit avec un certain bonheur et une fascination totale la grandeur et les décadences de ces deux artistes opposés en tout, mais tout aussi acharnés à prendre leur rival de vitesse, ou à le surpasser. Quitte à passer à côté d?une vie qui leur tend les bras, à l?image des femmes qui ponctuent leur existence comme autant de repères dérisoires, autant de balises invitant à garder les pieds sur terre. Même si on peut déplorer qu?au 4/5e du récit toutes les ficelles de ce brillant scénario aient été dénouées, on ne peut que se délecter d?un récit stylisé à la mécanique parfaite, invitant à chaque seconde à l?attention (« Est-ce que vous regardez attentivement ? » clame régulièrement l?un des interprètes) et à la concentration, fournissant fausses pistes et sujets de réflexions à foison, recoupements et rebondissements malins tout en nous tenant en haleine jusqu?à la fin de ce drame victorien flirtant intelligemment avec le surnaturel et la perception de la réalité (le roman d?origine, après tout, est signé de Christopher Priest, le talentueux auteur du Monde inverti). Les amateurs de twist rechigneront peut-être, ne trouvant pas leur compte dans l?acte final alors que tout ce qui précédait l?annonçait, mais l?important n?est pas là : il vaut mieux admirer la puissance de l?interprétation, dominée par un Christian Bale impressionnant, offrant une multitude de visages et une palette d?expressions fascinante, face à un Jackman carré et imposant, révélant quelques failles qui enrichissent son jeu. A leurs côtés, Michael Caine est toujours impérial, pas très loin du rôle d?Alfred dans Batman.

Peut-être pas très touchant, le film s?intéresse davantage aux artifices et aux dessous des tours qu?aux acteurs du spectacle, livrant une réflexion nécessaire sur les dualités magie/technologie, improvisation/rigueur, irrationnel/logique qui sont à la base de toute expression artistique. Pour peu qu?on soit dupe dès l?entame ? ou qu?on ait simplement envie de l?être, le spectacle est total.
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Marge: This is the worst thing you've ever done.
Homer: You say that so often that it lost its meaning.

[Willem Belasco]

[Vance]

[Willem Belasco]

C'est un film qui ne m'intéressait pas du tout et, après la lecture de critiques plus positives les unes que les autres et les encouragements de mon entourage, je me suis décidé à y aller.

J'ai trouvé que Le prestige était un excellent film et ce pour plusieurs raisons.
La prestation générale des acteurs est exceptionnelle, si ce n'est celle offerte par Scarlett Johansson. Un jeu d'une platitude déconcertante, sans aucune profondeur ni émotions, totalement à l'opposé de Christian Bale, Hugh Jackman et bien entendu Michael Caine.
La palme de l'excellence revient à Christian Bale, plus brillant que jamais dans ce film. Et même si force est de constater qu'Hugh Jackman, dans un rôle à l'antipode de Wolverine ou même de Van Helsing, fait preuve d'un talent indéniable, Christian Bale lui, arrache l'écran par son charisme naturel et un large éventail d'expressions qui font malheureusement défaut à Jackman.

La musique nous accompagne véritablement dans un univers obscure, rempli de secrets, de machinations machiaveliques, de rivalités titanesques.
Un sans faute pour la bande son.

Pour ce qui est du film en lui-même, il m'a plu dans l'ensemble pour son ambiance, ses rebondissements et surtout cette façon qu'a la caméra de nous guider vers la découverte de la vérité.
Néanmoins, le twist concernant Alfred Borden est rapidement prévisible et m'a quelque peu gaché la fin.

SPOILER
En effet, la caméra s'efforce trop souvent de nous en montrer le moins possible de ce mystèrieux Mr Fallon. De plus, dès sa première apparition, un oeil même inexpérimenté peut s'apercevoir qu'il s'agit d'un visage grimé.
Pourquoi ? Forcément parce que l'homme en dessous du masque ne doit pas être reconnu parce que justement... l'homme est quelqu'un de connu.
De plus, le fait que tout au long du film nous n'entendons jamais sa voix m'a conforté dans cette idée.
Et la conclusion des jumeaux est venue d'elle-même dès que, pour expliquer ce fameux tour de l'homme transporté, Robert Angier et Olivia affirment, à l'inverse de Cutter, que Borden n'utilise pas de double.
Fallon accompagnant toujours et toujours Borden... il ne pouvait s'agir que de lui. Un double parfait... un jumeau.

Et puis, il y a la voix off de Cutter, au tout début du film, qui insiste bien sur le fait que si un tour de magie fonctionne, c'est uniquement parce que le public ne regarde pas là où il faut. Il ne fait pas attention.
Du coup, mes yeux ont peut-être été beaucoup plus inquisiteur qu'à leur habitude

Ma conclusion :
Le prestige est une excellent film qui propose une histoire captivante dans un univers secret et parfois pervers.
L'intrigue est brillamment et intelligemment menée pour nous faire découvrir pas à pas la vérité sur cette étrange et mystérieuse affaire.
Un film à voir sans hésiter.
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"You have never experienced Shakespeare until you have read him in the original Klingon"
Chancelier Gorkon (Star Trek VI The Undiscovered country)

[Cecilia]

LE PRESTIGE Je voulais le voir car j'appréciais les acteurs, le réalisateur et l'histoire me semblait intéressante. J'en suis ressortie déçue , je ne sais pas comment l'expliquer mais je m'attendais à mieux. Tant pis.
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Le chocolat, ça rend heureux
Viva Prison Break !!!
Observatrice

[max zorin]

Les critiques de la presse sont mitigées... Mais les cr lus ici me donnent envie de le voir, dès que l'occasion se présente.
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And did we tell you the name of the game, boy?

[Le Duc]