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Rocky 6 : bande annonce finale
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Willem Belasco
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MessagePosté le: Lun 05 Fév 2007 20:17    Sujet du message: Répondre en citant

Le Duc a écrit:
Effectivement le dossier médical aurait du l'exclure. Rocky 6 aurait pu être un film où un vieil act...boxeur fini, souffrant de parkinson, décide de remonter sur le ring et de donner des coups de têtes frénétiques à son adversaire, mais heureusement il en est rien.

Vivement le DVD...


Quoique ça aurait pu être marrant
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gantz



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Messages: 20
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MessagePosté le: Lun 12 Fév 2007 21:04    Sujet du message: Répondre en citant

Salut

je me rallie à ce concert de louanges mérités et bravo pour toutes vos critiques

Rocky Balboa

Presque 30 ans après la sortie triomphale de Rocky écrit et réalisé par Sylvester Stallone, alors un quasi inconnu devenu en l?espace d?un film une véritable icône dans le monde entier, sort le sixième et dernier volet d?une saga phénomène.

Quelques années après la mort de sa femme Adrienne, Rocky ne vit plus la boxe qu?à travers les histoires qu?ils racontent aux clients de son restaurant. Quand est émis l?hypothèse d?organiser un combat d?exhibition contre le champion du monde actuel, Rocky voit l?occasion de réveiller la bête qui sommeille en lui.

Une histoire classique et intelligemment mis en scène qui dans un premier temps joue la carte du tendre à travers le portrait intimiste du quotidien d?un homme brisé par la mort de sa femme et délaissé par un fils qui lui reproche sa célébrité écrasante. La deuxième partie flamboyante et spectaculaire offre un combat dont le montage frénétique et la charge émotionnelle laisse à l?image du combattant le spectateur sur les genoux, le souffle coupé.

Devant la caméra Stallone campe un Rocky tout en force intérieur et en humilité aux grandes valeurs morales (respect, courage, abnégation?) et Burt Young dans le rôle de paulie excelle toujours autant en râleur au grand c?ur. Bill Conti Le compositeur attitré de la saga offre une partition reprenant les magnifiques thèmes subtilement réorchestré.

Avec Rocky Balboa, Sylvester Stallone s?impose à nouveau comme un cinéaste à part entière et nous balance tel un uppercut une ?uvre bouleversante par sa sincérité et émouvante par sa lucidité en se livrante corps et âme (à l?image de M. Night Shyamalan et son sublime La jeune fille de l?eau) à travers ce film si personnel (Rocky et Stallone même combat) comme on l?aura rarement vu au cinéma.

Ma note : 8/10

A+
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Le Duc
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MessagePosté le: Lun 12 Fév 2007 21:43    Sujet du message: Répondre en citant

gantz a écrit:
Salut

Avec Rocky Balboa, Sylvester Stallone s?impose à nouveau comme un cinéaste à part entière et nous balance tel un uppercut une ?uvre bouleversante par sa sincérité et émouvante par sa lucidité en se livrante corps et âme (à l?image de M. Night Shyamalan et son sublime La jeune fille de l?eau) à travers ce film si personnel (Rocky et Stallone même combat) comme on l?aura rarement vu au cinéma.

Ma note : 8/10

A+


Assez d'accord avec le rapprochement intimiste des réalisateurs par rapport aux sujets de leurs métrages, mais à la différence que Rocky est heureusement beaucoup plus réussis que Lady in the Water.

Comme quoi, il existe avec Rocky une sorte de fable qui sait se passer de monstres et de princesse...
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stefan
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MessagePosté le: Mar 13 Fév 2007 21:14    Sujet du message: Répondre en citant

Rocky Balboa (7/10): Alors oui, le film n'est absolument pas orginal dans son déroulement et totalement improbable dans son dénouement... et pourtant ça fonctionne. Ca fonctionne car c'est bien connu, c'est avec les vieilles recettes qu'on fait les meilleurs plats et ça, Stallone l'a bien compris. Son personnage il le connait par coeur, au même titre qu'il connait ses fans par coeur. Quelques notes de musique, quelque images d'entraînement et ça repart. On est immédiatement submergés par un flot d'images issues des 5 précédents films. Le film joue à fond sur la fibre nostalgique en faisant de multiples références à certaines séquences du premier film.
Au-delà de ça, Stallone porte un regard extrêmement lucide sur sa carrière. Stallone c'est Rocky et Rocky c'est Stallone. A travers ce film, il dit adieu au personnage le plus emblématique de sa carrière, celui qu'il a créé, celui qui lui a tout apporté. Rocky Balboa est donc un juste retour aux sources pour un acteur sur le déclin depuis pas mal d'années. La carrière de Rocky, c'est la carrière de Stallone.
Tout cela confère à cet ultime volet un charge émotionelle palpable tout au long du film à laquelle n'importe quel fan de Rocky ne peut résister. Bref, ce n'est pas un grand film cinématographiquement parlant, mais un film néanmoins essentiel.
Maintenant, je vais aller sécher mes larmes.
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TWIN
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MessagePosté le: Sam 17 Mar 2007 15:37    Sujet du message: Répondre en citant

Vu hier soir. Je viens d'écrire une critique complète quand mon explorateur internet a décidé de planter. J'ai donc perdu tout mon texte et je ne me sens pas la force de recommencer.

Je dirai simplement que ROCKY BALBOA est devenu, pour moi, après une simple première vision et après avoir été muri pendant toute une nuit, l'un de mes films préférés.

A la fois doux et amer, grossier et subtil, mélancolique et désenchanté, ROCKY BALBOA baigne dans des ambiances dont la lumière tranche par tâches apparentes à la surexposition aveuglante des vagues d'obscurité, le long de couleurs désaturées.
Et c'est révélateur de tout l'esprit du film : une ambition qui dépasse la post-modernité pour atteindre un statut hyper-référentiel et distancié quant à son regard sur la vie, sa propre histoire au sein d'une fiction et sa cinématographie.

Avec une sincérité inouïe, Stallone semble jeter un regard à la fois lucide et triste, la gorge nouée d'espoir tragique, de nostalgie et d'angoisses, sur le destin de son personnage, ainsi que sur sa propre vie, comme une métaphore de sa place moquée au sein d'un cinéma qui l'oublie.
C'est peut-être pour cela que ce film, ce personnage, cette saga, nous touchent autant : le miroir misérabiliste de la fable naturaliste n'est jamais très loin d'une réalité à la fois joyeuse et sordide, mais terriblement lucide dans sa tristesse toute personnelle.

Rien qu'à penser à ces cadres décalés, à ces plans si simples, à ces images en surimpression, à ces mouvements de caméra nostalgiques, à ces touches et détails si jolis, à ces mots sanglotés, j'en ai encore les yeux humides et la gorge qui se noue. Il n'y a qu'à voir avec quelle humilité la caméra effleure la tombe d'Adrian.
Cet homme vieillit, son regard lui fait mal, ainsi que ce qu'il inspire aux autres : les rapports avec son fils, qui l'évite, sont douloureux ; et Rocky n'est que trop conscient de la vacuité de son statut de monstre de foire auprès de ceux qui viennent écouter ses récits d'exploits passés. L'approche de la vieillesse et d'une mort suggérée (parfois souhaitée ?) n'en est que plus touchante. Son dernier combat, à l'issue inattendue, est une dernière expiration. Le dernier plan du film, libre d'interprétations, boucle définitivement la boucle et laisse dessiner une fin bouleversante, mais qui se déroulera hors du ring, hors du champ, en discrétion, dans le silence et l'oubli des mémoires.

Je porterai ROCKY BALBOA dans mon coeur - et cette saga, et cet homme - jusqu'à la fin de ma vie. On ne m'avait plus fait un tel cadeau depuis LE RETOUR DU ROI. Merci Sylvester, pour un tel achèvement artistique, pour cette foi immodérée en ces instants simples de grâce et de bonheur.
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Willem Belasco
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MessagePosté le: Sam 17 Mar 2007 16:57    Sujet du message: Répondre en citant

TWIN a écrit:
A la fois doux et amer, grossier et subtil, mélancolique et désenchanté, ROCKY BALBOA baigne dans des ambiances dont la lumière tranche par tâches apparentes à la surexposition aveuglante des vagues d'obscurité, le long de couleurs désaturées.


Va falloir que je demande au Lt. Cmder Valdek son traducteur universel

Plus sérieusement...
Plus je repense à ce film que j'ai vu deux fois et plus je réalise que de nombreuses images occupent encore mon esprit, pour ne pas dire tout le film.
Rocky Balboa, un film devant lequel on ne peut rester insensible.
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TWIN
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MessagePosté le: Sam 17 Mar 2007 17:13    Sujet du message: Répondre en citant

Seigneur Belasco a écrit:
TWIN a écrit:
A la fois doux et amer, grossier et subtil, mélancolique et désenchanté, ROCKY BALBOA baigne dans des ambiances dont la lumière tranche, par tâches apparentes à la surexposition aveuglante, des vagues d'obscurité, le long de couleurs désaturées.


Va falloir que je demande au Lt. Cmder Valdek son traducteur universel

Plus sérieusement...
Plus je repense à ce film que j'ai vu deux fois et plus je réalise que de nombreuses images occupent encore mon esprit, pour ne pas dire tout le film.
Rocky Balboa, un film devant lequel on ne peut rester insensible.

Avec des virgules, c'est mieux Mr. Green
Ce film se construit sur un passif cinématographique et spectatoriel qui effectivement ne peut laisser insensible. Je me demande quel effet il aurait sur quelqu'un qui ne connaît ni Stallone ni Rocky...
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Nicolas
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MessagePosté le: Lun 19 Mar 2007 07:49    Sujet du message: Répondre en citant

Alors attention...émotions Sad

Image et son apocalyptique, une précision de feu... Shocked

Avant tout je dirais que celui ci vient englober la saga complète, il n'est pas mieux que un autre moins bien que un autre, il est là pour refermer la boite, l'ensemble du monument Balboa...l'épisode qu'il manquait tout en justesse, poigne et émotion...

Le début et la préparation au combat sont une ode a Balboa, à son monde...quelle riche idée de nour présenter Philadelphie aujourd'hui et comment Rocky s'y est adapté...bref une première heure qui passe si vite...c'est magistral.
Revoir le Boxing, le magasin où Adrian travaillait, entendre ce vieux Paulie ronchonné c'est tout ça l'univers de Balboa...revoir marie, son fils, le début de cette belle amitié...du pur bonheur...

Et on y arrive au combat à cet entrainement la conférence de presse...le retour du Duke la musique de Bill Conti...c'est a pleurer Sad
Quand on voit Mason arriver et le morceau de rap qui commence "it's a fight"...qeue c'est bon (et je hais le rap habituellement mais là c divinement choisit).

Et le combat une belle tuerie, un ensemble magnifique sur 10 rounds...le Rocky morfle, le Mason tabasse au buffet mais le Rocky riposte...et le final mais quel final quand le Balboa est a terre et qu'il pense...ce qu'il dit pr se relever, le flashback sur sa vie...l'assault final du combat, hallucinant...j'atais en transe complète...

Voilà la boucle est bouclée, Monsieur Balboa est sortit en prince avec les honneurs du public. Je dis haut et fort, merçi pour tout mon Rocky, tu me manques déjà. Tu nous as apporter une belle image de ce monde brutal qu'est la boxe, tu nous as apporter a apprendre le respect. Merçi pour tout et salut champion Wink


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