[BRD - DVD - LD] Heat

[Le loup celeste]

Heat (Import US) de Michael Mann:

Neil McCauley est un criminel orgueilleux et indépendant. Au cours d'un holdup spectaculaire, Waingro, un complice de fraîche date, craque et abat les convoyeurs. Furieux, Neil décide de le liquider, mais l'homme s'enfuit. Pour coincer Neil, on lance à ses trousses le lieutenant Hanna, un pro aguerri qui ne vit que pour son métier...

Très grand classique du cinéma d'action réalisé par un Michael Mann au sommet de son art, "Heat" est un film artistiquement irréprochable (aussi bien dans le fond avec son scénario brillant que dans la forme avec sa mise en scène d'une rare justesse) à l'ambiance prenante et aux scènes d'actions anthologiques (la fusillade en pleine rue) qui oppose avec panache deux géants du cinéma (Al Pacino et Robert De Niro). Un chef-d'oeuvre qui n'a pas pris une ride.

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Disponible en DVD Zone 2 et Blu-ray Disc Zone A (non zoné) et B.

Pistes sonores: ENGLISH Dolby TrueHD 5.1; ENGLISH, SPANISH, FRENCH (VFF) & GERMAN Dolby Digital 5.1; PORTUGUESE Dolby Digital Mono.

Critique support:
Incontournable pour les fans de ce chef-d'oeuvre malgré une technique en dents de scie.
-La palette colorimétrique est magnifique, les noirs sont profonds, le grain est très léger et la définition est souvent probante mais à de nombreuses reprises certaines zones de l'image sont floues et c'est bien dommage.
-La piste Anglaise DolbyTrueHD 5.1 à la spatialisation remarquable est particulièrement dynamique et immersive. Les pistes en Dolby Digital 5.1 sont moins dynamiques mais ne déméritent pas.
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Mon Blog sur le 7e art : Le cinéma du loup
Mes installations HC : Principale (7.1.2) et secondaire (3.1)

[max zorin]

Heat, policier de Michael Mann, 1995/USA, BD B

Heat reste un polar fascinant, bénéficiant de la mise en scène virtuose et parfaitement orchestrée de Michael Mann ainsi que de l’inteprétation majeure des ténors du genre réunis pour l’occasion. Même si personnellement j’ai toujours regretté que l’affrontement final prenne une tournure contraire à la logique (vu le placement respectif des duelistes), ce chef d’œuvre place Michael Mann dans le cercle très fermé des meilleurs auteurs de films de gangster de tous les temps, au côté de Scorsese, Coppola, de Palma et Tarantino.

Dommage que ce BD (2009) ne dope pas d’avantage le plaisir du visionnage, à part une compression mieux maîtrisée, l’image est au niveau d’un bon DVD… Quant à la piste DD 5.1, on est loin de l’explosion multicanale attendue, la scène légendaire du braquage de la banque aurait mérité plus d’ouverture et de dynamisme. La piste PCM stéréo du LD est bien plus ample et spectaculaire.
Bref, une remasterisation aurait été la bienvenue…

5/5 pour le film
6/10 pour le BD
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And did we tell you the name of the game, boy?

[STIFLER]

pour moi, il est vraiment énorme ce film
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[Nicolas]

oui je viens de revendre le BR pas digne du support...j'attendrais qq chose de mieux !
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Si c'est votre premier soir au Fight Club : vous devez vous battre !

[Guy]

Pareil.
Je garde mon DVD pour l'instant tant qu'il n'y aura pas une édition digne de ce nom.
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Une présence tranquillisante

[max zorin]

Personne ne commente ma remarque concernant l'affrontement final que j'ai jugé illogique?
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And did we tell you the name of the game, boy?

[Dark Vador]

[Guy]

[Dark Vador]

[max zorin]

Ah je vous jure ces cinéphiles du dimanche alors!

Pour rappel, De Niro (le gangster) est bien planqué derrière un container et Pacino (le flic) est debout au milieu de la place totalement à découvert... qui devrait logiquement se faire descendre, je vous le demande!?
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And did we tell you the name of the game, boy?

[SHREK83]

[max zorin]

C'est bien ce que je reproche à Michael Mann! Pourquoi faire une fin morale alors que tout le film est noir!?

Et puis tant qu'à faire, au moins il aurait pu positionner les personnages à l'inverse...
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And did we tell you the name of the game, boy?

[Guinness60]

La fin du film présente Pacino comme un homme incapable de faire autre chose que son métier. Je trouve pas que ça se finit si bien car après, que lui reste t'il?

[TobinFrost]

Moi ce qui m'a le plus frappé c'est la fusillade dans Chicago et il faut se dire que cette scène n'a pas été tournée dans un studio mais dans la ville.

Ca devait franchement être énorme, ils ont vraiment dû s'amuser à tourner ça

[TobinFrost]

[max zorin]

[TobinFrost]

[max zorin]