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Indiana Jones & the Kingdom of the Crystal Skull [2008]
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aldarion06
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MessagePosté le: Mar 20 Mai 2008 16:16    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Indiana Jones à l'épreuve des tomates !
Par Gillossen, le 20/05/2008 à 13:01

L'attente n'est plus qu'une question d'heures maintenant...
Et jusqu'à présent, avec déjà 60 critiques différentes comptabilisées sur Rotten Tomatoes bien sûr, le film fait mieux que se défendre, avec 80% d'opinions positives, et une note moyenne de 7.1/10. En comparaison, Le Prince Caspian s'est stabilisé quant à lui à 67% (et 6,4/10), avec plus de 100 critiques recensées.
En bonus, ci-contre, une nouvelle affiche, une de plus !



rassurant mais je me ferais mon opinion tres prochainement ...
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max zorin
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MessagePosté le: Mer 21 Mai 2008 10:28    Sujet du message: Répondre en citant

Lorenzo:

Citation:
Quant aux critiques Cannoises bobo-éllitistes qui crachent sur le film, je leur lance un grand F°°°° !!


Bah écoute, je m'attendais à pire, les critiques que j'ai lues ne sont pas destructrices. C'est de bonne augure! Wink
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Lorenzo007
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MessagePosté le: Mer 21 Mai 2008 13:43    Sujet du message: Répondre en citant

Je développerai plus tard, juste pour dire que j'ai pris beaucoup de plaisir face à ce retour gagnant du célèbre archéologue.
Spielberg joue à fond la carte de la nostalgie, l'ambiance 50's est magnifiquement restituée, Shia ne fait pas de la configuration et apporte une touche de jeunesse qui fait du bien à la saga (cela dit, je ne le vois pas reprendre le flambeau dans le 5ème film) dans ce monde de "vieux chnoques".

Harrison Ford s'en donne à coeur joie et se révèle encore très crédible dans le rôle (les blagues sur son âge ont bien fait rire les spectateurs).

Je regrette juste un scénario d'une connerie abyssale et un final visuellement horrible (ça ressemble plus à du Lucas).

En bref, très très bon divertissement, les codes de la série sont respectés, ouf ! Very Happy
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Les critiques presses ne savent pas de quoi elles parlent, elles méritent que je leur donne des leçons de cinéma !
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Zardoz
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MessagePosté le: Mer 21 Mai 2008 14:23    Sujet du message: Répondre en citant

tu voulais dire "Shia ne fait pas de la figuration" ? Cool
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C'est ça ! Et la marmotte emballe elle-même le chocolat dans le papier-alu ??? Mr. Green
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Lorenzo007
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MessagePosté le: Mer 21 Mai 2008 18:24    Sujet du message: Répondre en citant

Zardoz a écrit:
tu voulais dire "Shia ne fait pas de la figuration" ? Cool


Oui, j'ai écrit trop vite. Cool
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Spooky
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MessagePosté le: Mer 21 Mai 2008 21:06    Sujet du message: Répondre en citant

19 longues années d'attente pour ça...

Jamais conclusion n'aura été si désastreuse. Je n'ai même pas envie de critiquer...
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max zorin
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MessagePosté le: Jeu 22 Mai 2008 09:40    Sujet du message: Répondre en citant

Les avis sont très partagés apparamment...
Inquiétant, j'ai lu ce matin une critique assassine dans un quotidien pourtant mainstream, selon lequel ce 4ème opus serait une ressucée de tous les éléments des 3 premiers épisodes, avec un shia la boeuf et une cate blanchet inexpressifs, un scénario complêtement abhérant (et qui repose sur la guerre froide, déjà traitée 1000 fois au cinéma) et une esthétique moche au possible.

Le seul qui s'en tire serait Harrison Ford qui parvient 19 ans après à reprendre son rôle de facon crédible et avec assez de conviction.

La conclusion du journaliste: Déjà-vu.

J'ai quand même hâte de le voir mais malheureusement, pas le temps en ce moment... Rolling Eyes
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Lorenzo007
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MessagePosté le: Jeu 22 Mai 2008 09:47    Sujet du message: Répondre en citant

Voici mon avis argumenté sur le film...CONTIENT DES SPOILERS !!!


Cela faisait dix-neuf ans que nous attendions le retour du célèbre archéologue au chapeau et au fouet. Le peur d'une déception était au rendez-vous, car les catastrophes de The Lost World de Spielberg en 1997 et de Star Wars Episode I deux ans plus tard trottent encore dans nos têtes, et que ce retour d'Indiana Jones avait de quoi laisser sceptique, croyant que ce quatrième épisode soit justement atteint du même syndrôme des deux films évoqués ci-dessus.
En cette date du 21 mai 2008, le verdict tant espéré tombe enfin. Le Royaume du Crâne de Cristal s'apparente-t-il plutôt à une lourde déception ou bien à une bonne surprise doublée d'un plaisir immense ?

Dès les premières images, nous sommes vraiment transportés dans l'intrigue qui se passe désormais à la fin des années cinquante. Une bande d'adolescents roulent à grande vitesse sur une autoroute déserte en écoutant Elvis à plein tubes. Ils rejoignent des véhicules militaires dont les occupants n'ont pas l'air drôles mais qui décident néanmoins de faire la course pour épater les jolies jeunes filles.
Lorsqu'il rentrent dans la base militaire, les choses sérieuses commencent. Dans ces voitures, se trouvaient des agents Soviétiques travaillant pour le KGB qui ont enlevé Indy et son ami de guerre, Mac.
Menacés de mort par la diabolique Irina Spalko qui recherche un objet archéologique fort convoités, ils sont contraints de s'échapper en utilisant la manière forte.
On retrouve, dans ces vingt premières minutes, les ingrédients qui nous faisaient rêver lors des trois premiers films : ouverture sur une montagne de terre (détournement du logo Paramount), ciel bleu, suspense, humour et action. Lorsque Jones met son chapeau et regarde ses ennemis d'un air menaçant, le tout accompagné par une bribe du célèbre thème composé par John Williams, l'émotion nous submerge et la nostalgie bat son plein.
Pourtant, cette scène d'ouverture paraît plus longue qu'à l'accoutumée, on peut même dire qu'elle contient deux parties. Tout d'abord, celle de l'entrepôt dans laquelle un plan très court sur l'Arche d'Alliance nous rappelle de bons souvenirs; et puis, celle du village fictif qui sert de terrain pour essais nucléaires. Nous sommes en pleine guerre froide et le pessimisme fort présent dans les précédents films de Spielberg est une fois de plus présent, même si il est plus léger et ne choque pas tant que ça.

Une fois cette fabuleuse première demi-heure dépassée, notre première impression se révèle fort positive. Tout en baignant dans la nostalgie des opus précédents, Spielberg rend un magnifique hommage à l'environnement cinématographique des 50's grâce à sa photographie splendide, dans la parfaite continuité du travail de Douglas Slocombe et bien adaptée à l'époque dans laquelle se déroule l'histoire, s'intégrant sans problème à la saga.
La suite utilise plus ou moins le même schéma que celui des Aventuriers de l'Arche Perdue. Si l'on passe l'interrogatoire où Indy est soupçonné de sympathies communistes, le revoir en tant qu'enseignant est plaisir sincère. Marcus Brody n'étant plus (les références sont sympathiques, surtout celle lors de la poursuite sur le campus universitaire) là, c'est le doyen de l'établissement qui annonce une mauvaise nouvelle à notre héros.
Condamné à continuer sa vie d'aventurier, le voilà flanqué d'un jeune rebelle, campé par un Shia LaBoeuf juste et pas envahissant, dans une jolie parodie de Marlon Brando qui passe plus son temps à se coiffer qu'à réfléchir à l'aide qu'il pourrait apporter à Indy. Une fois de plus, l'ambiance des années 50 se fait grandement ressortir, surtout lorsque le jeune Mutt déclenche une gigantesque bagarre dans un bar, ce qui profite à Spielberg de faire un léger clin d'oeil à Retour Vers le Futur.
A ce moment-là, nous avons facilement atteint une heure de projection, et le plaisir de ses retrouvailles est toujours immense.
Hélas, dès l'arrivée de nos deux compères au Pérou, le film devient excessivement bavard et multiplie les incohérences scénaristiques.

Si il y a bien une chose négative à évoquer dans Le Royaume du Crâne de Cristal, c'est son scénario d'une bêtise consternante. Alors que des scripts intéressants avaient été écrits par Frank Darabont et d'autres scénaristes, ceux-ci se sont fait renvoyés par George Lucas, qui n'appréciait pas que la fin qu'il exigeait n'y figure pas.
Premièrement, les retournements de veste incessants de Mac ont de quoi être insupportables. Une fois ami, puis traître avant de chercher une rédemption (à plusieurs reprises dans le film), il est le personnage inutile par excellence, avide de gloire et de richesse et porteur d'un humour aux ras des paquerettes.
Ensuite, l'introduction du personnage de Marion ne tient pas la route tant il est expédié rapidement. Alors que les retrouvailles entre Indy et elle étaient amusantes il y a 27 ans, celles-ci n'ont aucune saveur et sentent le réchauffé, mais c'est surtout à l'interprétation d'une Karen Allen momifiée que nous croyons pas. Pire encore, la trouillarde amoureuse du premier film se révèle être une excellente conductrice dans la jungle, n'ayant aucune crainte de tomber dans le vide. Alors qu'Indy n'a pas changé mis à part quelques rides et des cheveux blancs, Marion est du coup transformée en une action-woman quasi invincible que rien n'arrête.
On continue avec Oxley, le vieil archéologue kidnappé par le KGB. Suite à sa découverte du fameux crâne, l'homme est devenu fou, à la limite de l'autisme pur, répétant toujours les mêmes phrases. Ce qui choque, c'est le retour soudain de sa lucidité dans la cité d'or, comment un vieil homme proche de la mort peut-il regagner la raison et reconnaître ses amis sans s'en méfier ? Le jeu de John Hurt est bon pendant dix minutes, mais commence à sérieusement lasser vers la fin.
Ce qu'a écrit David Koepp a bien évidemment été imposé par Lucas, c'est dont lui le responsable de ce fiasco scénaristique, histoire qui devient de plus en plus confuse vers la fin, n'apportant aucune fascination ou intérêt concernant les pouvoirs du crâne, donnant lieu à une confusion entre les Ughos et les Maya.

L'autre point négatif de ces nouvelles aventures d'Indiana Jones est clairement la fin. Spielberg a fait le tour des bonhommes venus d'une autre planète mais il a fallu que Lucas les insère dans l'histoire pour légèrement dénaturer le mythe du personnage. Malgré l'hommage volontaire aux films fantastiques des années 50, cette révélation finale a de quoi dégoûter les fans par son manque de dynamisme et d'originalité. Spalko se retrouve seule face aux squelettes qui se reforment de manière frontale pour donner naissance à un alien en images de synthèse, mal foutu et au design trop classique.
Pompé sur celui du premier épisode, ce final visuellement moche ne ressemble pas du tout à ce que Spielberg nous avait habitués, tant les couleurs ne sont pas du tout adéquates et fait sombrer ce dernier quart d'heure dans le ridicule le plus total, pouvant provoquer quelques éclats de rire. La soucoupe volante venue de nulle part enfonce le clou et ne respecte pas vraiment l'univers du personnage.

Mis à part ces deux points négatifs, ce quatrième Indiana Jones est un excellent divertissement brillament mise en scène, au découpage très lisible (Michael Kahn donne ici une véritable leçon de montage), au plaisir ultra communicatif.
Harrison Ford, du haut de ses 65 ans, s'en donne à coeur joie et se montre physiquement crédible dans son rôle qui a fait de lui une icône du cinéma Américain.
Retour gagnant !

8/10
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Stanley Ipkiss
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MessagePosté le: Jeu 22 Mai 2008 12:14    Sujet du message: Répondre en citant

Lorenzo007 a écrit:
Voici mon avis argumenté sur le film...CONTIENT DES SPOILERS !!!


Cela faisait dix-neuf ans que nous attendions le retour du célèbre archéologue au chapeau et au fouet. Le peur d'une déception était au rendez-vous, car les catastrophes de The Lost World de Spielberg en 1997 et de Star Wars Episode I deux ans plus tard trottent encore dans nos têtes, et que ce retour d'Indiana Jones avait de quoi laisser sceptique, croyant que ce quatrième épisode soit justement atteint du même syndrôme des deux films évoqués ci-dessus.
En cette date du 21 mai 2008, le verdict tant espéré tombe enfin. Le Royaume du Crâne de Cristal s'apparente-t-il plutôt à une lourde déception ou bien à une bonne surprise doublée d'un plaisir immense ?

Dès les premières images, nous sommes vraiment transportés dans l'intrigue qui se passe désormais à la fin des années cinquante. Une bande d'adolescents roulent à grande vitesse sur une autoroute déserte en écoutant Elvis à plein tubes. Ils rejoignent des véhicules militaires dont les occupants n'ont pas l'air drôles mais qui décident néanmoins de faire la course pour épater les jolies jeunes filles.
Lorsqu'il rentrent dans la base militaire, les choses sérieuses commencent. Dans ces voitures, se trouvaient des agents Soviétiques travaillant pour le KGB qui ont enlevé Indy et son ami de guerre, Mac.
Menacés de mort par la diabolique Irina Spalko qui recherche un objet archéologique fort convoités, ils sont contraints de s'échapper en utilisant la manière forte.
On retrouve, dans ces vingt premières minutes, les ingrédients qui nous faisaient rêver lors des trois premiers films : ouverture sur une montagne de terre (détournement du logo Paramount), ciel bleu, suspense, humour et action. Lorsque Jones met son chapeau et regarde ses ennemis d'un air menaçant, le tout accompagné par une bribe du célèbre thème composé par John Williams, l'émotion nous submerge et la nostalgie bat son plein.
Pourtant, cette scène d'ouverture paraît plus longue qu'à l'accoutumée, on peut même dire qu'elle contient deux parties. Tout d'abord, celle de l'entrepôt dans laquelle un plan très court sur l'Arche d'Alliance nous rappelle de bons souvenirs; et puis, celle du village fictif qui sert de terrain pour essais nucléaires. Nous sommes en pleine guerre froide et le pessimisme fort présent dans les précédents films de Spielberg est une fois de plus présent, même si il est plus léger et ne choque pas tant que ça.

Une fois cette fabuleuse première demi-heure dépassée, notre première impression se révèle fort positive. Tout en baignant dans la nostalgie des opus précédents, Spielberg rend un magnifique hommage à l'environnement cinématographique des 50's grâce à sa photographie splendide, dans la parfaite continuité du travail de Douglas Slocombe et bien adaptée à l'époque dans laquelle se déroule l'histoire, s'intégrant sans problème à la saga.
La suite utilise plus ou moins le même schéma que celui des Aventuriers de l'Arche Perdue. Si l'on passe l'interrogatoire où Indy est soupçonné de sympathies communistes, le revoir en tant qu'enseignant est plaisir sincère. Marcus Brody n'étant plus (les références sont sympathiques, surtout celle lors de la poursuite sur le campus universitaire) là, c'est le doyen de l'établissement qui annonce une mauvaise nouvelle à notre héros.
Condamné à continuer sa vie d'aventurier, le voilà flanqué d'un jeune rebelle, campé par un Shia LaBoeuf juste et pas envahissant, dans une jolie parodie de Marlon Brando qui passe plus son temps à se coiffer qu'à réfléchir à l'aide qu'il pourrait apporter à Indy. Une fois de plus, l'ambiance des années 50 se fait grandement ressortir, surtout lorsque le jeune Mutt déclenche une gigantesque bagarre dans un bar, ce qui profite à Spielberg de faire un léger clin d'oeil à Retour Vers le Futur.
A ce moment-là, nous avons facilement atteint une heure de projection, et le plaisir de ses retrouvailles est toujours immense.
Hélas, dès l'arrivée de nos deux compères au Pérou, le film devient excessivement bavard et multiplie les incohérences scénaristiques.

Si il y a bien une chose négative à évoquer dans Le Royaume du Crâne de Cristal, c'est son scénario d'une bêtise consternante. Alors que des scripts intéressants avaient été écrits par Frank Darabont et d'autres scénaristes, ceux-ci se sont fait renvoyés par George Lucas, qui n'appréciait pas que la fin qu'il exigeait n'y figure pas.
Premièrement, les retournements de veste incessants de Mac ont de quoi être insupportables. Une fois ami, puis traître avant de chercher une rédemption (à plusieurs reprises dans le film), il est le personnage inutile par excellence, avide de gloire et de richesse et porteur d'un humour aux ras des paquerettes.
Ensuite, l'introduction du personnage de Marion ne tient pas la route tant il est expédié rapidement. Alors que les retrouvailles entre Indy et elle étaient amusantes il y a 27 ans, celles-ci n'ont aucune saveur et sentent le réchauffé, mais c'est surtout à l'interprétation d'une Karen Allen momifiée que nous croyons pas. Pire encore, la trouillarde amoureuse du premier film se révèle être une excellente conductrice dans la jungle, n'ayant aucune crainte de tomber dans le vide. Alors qu'Indy n'a pas changé mis à part quelques rides et des cheveux blancs, Marion est du coup transformée en une action-woman quasi invincible que rien n'arrête.
On continue avec Oxley, le vieil archéologue kidnappé par le KGB. Suite à sa découverte du fameux crâne, l'homme est devenu fou, à la limite de l'autisme pur, répétant toujours les mêmes phrases. Ce qui choque, c'est le retour soudain de sa lucidité dans la cité d'or, comment un vieil homme proche de la mort peut-il regagner la raison et reconnaître ses amis sans s'en méfier ? Le jeu de John Hurt est bon pendant dix minutes, mais commence à sérieusement lasser vers la fin.
Ce qu'a écrit David Koepp a bien évidemment été imposé par Lucas, c'est dont lui le responsable de ce fiasco scénaristique, histoire qui devient de plus en plus confuse vers la fin, n'apportant aucune fascination ou intérêt concernant les pouvoirs du crâne, donnant lieu à une confusion entre les Ughos et les Maya.

L'autre point négatif de ces nouvelles aventures d'Indiana Jones est clairement la fin. Spielberg a fait le tour des bonhommes venus d'une autre planète mais il a fallu que Lucas les insère dans l'histoire pour légèrement dénaturer le mythe du personnage. Malgré l'hommage volontaire aux films fantastiques des années 50, cette révélation finale a de quoi dégoûter les fans par son manque de dynamisme et d'originalité. Spalko se retrouve seule face aux squelettes qui se reforment de manière frontale pour donner naissance à un alien en images de synthèse, mal foutu et au design trop classique.
Pompé sur celui du premier épisode, ce final visuellement moche ne ressemble pas du tout à ce que Spielberg nous avait habitués, tant les couleurs ne sont pas du tout adéquates et fait sombrer ce dernier quart d'heure dans le ridicule le plus total, pouvant provoquer quelques éclats de rire. La soucoupe volante venue de nulle part enfonce le clou et ne respecte pas vraiment l'univers du personnage.

Mis à part ces deux points négatifs, ce quatrième Indiana Jones est un excellent divertissement brillament mise en scène, au découpage très lisible (Michael Kahn donne ici une véritable leçon de montage), au plaisir ultra communicatif.
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8/10


assez d'accord avec toi dans l'ensemble, un bon film mais gaché par des fautes de gout enormes SPOILERS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! comme les marmottes, les singes, le fait qu'indy et marion se marient qui est une aberration totale et une fin ridicule surement due à lucas effectivement. en enlevant ces points on a un film loin des premiers mais assez agréable.
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bond007
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MessagePosté le: Sam 24 Mai 2008 09:47    Sujet du message: Répondre en citant

Ce ne sont pas des marmottes, mais des chiens de prairies! Wink

Je suis assez d'accord sinon avec Lorenzo. Sauf sur Marion, qui était déja une femme forte de caractère dans le 1er. N'oubliez pas qu'elle tenait un bouge pleins de mecs très "rustiques", il faut du courage pour une femme! Et elle n'était pas aussi potiche et superficielle que Willy du 2ème... Elle était rusée et déterminée.
On peut se dire que telle Sarah Connors dans Terminator, elle a eu quelques années pour apprendre différentes choses et s'endurcir encore plus.
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max zorin
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MessagePosté le: Sam 24 Mai 2008 09:54    Sujet du message: Répondre en citant

En résumé:

ceux qui ont aimé les 3 premiers aimeront, ceux qui n'ont pas aimé déseteront le 4ème. Laughing Wink
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aldarion06
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MessagePosté le: Sam 24 Mai 2008 10:37    Sujet du message: Répondre en citant

Lorenzo007 a écrit:
Voici mon avis argumenté sur le film...CONTIENT DES SPOILERS !!!


Cela faisait dix-neuf ans que nous attendions le retour du célèbre archéologue au chapeau et au fouet. Le peur d'une déception était au rendez-vous, car les catastrophes de The Lost World de Spielberg en 1997 et de Star Wars Episode I deux ans plus tard trottent encore dans nos têtes, et que ce retour d'Indiana Jones avait de quoi laisser sceptique, croyant que ce quatrième épisode soit justement atteint du même syndrôme des deux films évoqués ci-dessus.
En cette date du 21 mai 2008, le verdict tant espéré tombe enfin. Le Royaume du Crâne de Cristal s'apparente-t-il plutôt à une lourde déception ou bien à une bonne surprise doublée d'un plaisir immense ?

Dès les premières images, nous sommes vraiment transportés dans l'intrigue qui se passe désormais à la fin des années cinquante. Une bande d'adolescents roulent à grande vitesse sur une autoroute déserte en écoutant Elvis à plein tubes. Ils rejoignent des véhicules militaires dont les occupants n'ont pas l'air drôles mais qui décident néanmoins de faire la course pour épater les jolies jeunes filles.
Lorsqu'il rentrent dans la base militaire, les choses sérieuses commencent. Dans ces voitures, se trouvaient des agents Soviétiques travaillant pour le KGB qui ont enlevé Indy et son ami de guerre, Mac.
Menacés de mort par la diabolique Irina Spalko qui recherche un objet archéologique fort convoités, ils sont contraints de s'échapper en utilisant la manière forte.
On retrouve, dans ces vingt premières minutes, les ingrédients qui nous faisaient rêver lors des trois premiers films : ouverture sur une montagne de terre (détournement du logo Paramount), ciel bleu, suspense, humour et action. Lorsque Jones met son chapeau et regarde ses ennemis d'un air menaçant, le tout accompagné par une bribe du célèbre thème composé par John Williams, l'émotion nous submerge et la nostalgie bat son plein.
Pourtant, cette scène d'ouverture paraît plus longue qu'à l'accoutumée, on peut même dire qu'elle contient deux parties. Tout d'abord, celle de l'entrepôt dans laquelle un plan très court sur l'Arche d'Alliance nous rappelle de bons souvenirs; et puis, celle du village fictif qui sert de terrain pour essais nucléaires. Nous sommes en pleine guerre froide et le pessimisme fort présent dans les précédents films de Spielberg est une fois de plus présent, même si il est plus léger et ne choque pas tant que ça.

Une fois cette fabuleuse première demi-heure dépassée, notre première impression se révèle fort positive. Tout en baignant dans la nostalgie des opus précédents, Spielberg rend un magnifique hommage à l'environnement cinématographique des 50's grâce à sa photographie splendide, dans la parfaite continuité du travail de Douglas Slocombe et bien adaptée à l'époque dans laquelle se déroule l'histoire, s'intégrant sans problème à la saga.
La suite utilise plus ou moins le même schéma que celui des Aventuriers de l'Arche Perdue. Si l'on passe l'interrogatoire où Indy est soupçonné de sympathies communistes, le revoir en tant qu'enseignant est plaisir sincère. Marcus Brody n'étant plus (les références sont sympathiques, surtout celle lors de la poursuite sur le campus universitaire) là, c'est le doyen de l'établissement qui annonce une mauvaise nouvelle à notre héros.
Condamné à continuer sa vie d'aventurier, le voilà flanqué d'un jeune rebelle, campé par un Shia LaBoeuf juste et pas envahissant, dans une jolie parodie de Marlon Brando qui passe plus son temps à se coiffer qu'à réfléchir à l'aide qu'il pourrait apporter à Indy. Une fois de plus, l'ambiance des années 50 se fait grandement ressortir, surtout lorsque le jeune Mutt déclenche une gigantesque bagarre dans un bar, ce qui profite à Spielberg de faire un léger clin d'oeil à Retour Vers le Futur.
A ce moment-là, nous avons facilement atteint une heure de projection, et le plaisir de ses retrouvailles est toujours immense.
Hélas, dès l'arrivée de nos deux compères au Pérou, le film devient excessivement bavard et multiplie les incohérences scénaristiques.

Si il y a bien une chose négative à évoquer dans Le Royaume du Crâne de Cristal, c'est son scénario d'une bêtise consternante. Alors que des scripts intéressants avaient été écrits par Frank Darabont et d'autres scénaristes, ceux-ci se sont fait renvoyés par George Lucas, qui n'appréciait pas que la fin qu'il exigeait n'y figure pas.
Premièrement, les retournements de veste incessants de Mac ont de quoi être insupportables. Une fois ami, puis traître avant de chercher une rédemption (à plusieurs reprises dans le film), il est le personnage inutile par excellence, avide de gloire et de richesse et porteur d'un humour aux ras des paquerettes.
Ensuite, l'introduction du personnage de Marion ne tient pas la route tant il est expédié rapidement. Alors que les retrouvailles entre Indy et elle étaient amusantes il y a 27 ans, celles-ci n'ont aucune saveur et sentent le réchauffé, mais c'est surtout à l'interprétation d'une Karen Allen momifiée que nous croyons pas. Pire encore, la trouillarde amoureuse du premier film se révèle être une excellente conductrice dans la jungle, n'ayant aucune crainte de tomber dans le vide. Alors qu'Indy n'a pas changé mis à part quelques rides et des cheveux blancs, Marion est du coup transformée en une action-woman quasi invincible que rien n'arrête.
On continue avec Oxley, le vieil archéologue kidnappé par le KGB. Suite à sa découverte du fameux crâne, l'homme est devenu fou, à la limite de l'autisme pur, répétant toujours les mêmes phrases. Ce qui choque, c'est le retour soudain de sa lucidité dans la cité d'or, comment un vieil homme proche de la mort peut-il regagner la raison et reconnaître ses amis sans s'en méfier ? Le jeu de John Hurt est bon pendant dix minutes, mais commence à sérieusement lasser vers la fin.
Ce qu'a écrit David Koepp a bien évidemment été imposé par Lucas, c'est dont lui le responsable de ce fiasco scénaristique, histoire qui devient de plus en plus confuse vers la fin, n'apportant aucune fascination ou intérêt concernant les pouvoirs du crâne, donnant lieu à une confusion entre les Ughos et les Maya.

L'autre point négatif de ces nouvelles aventures d'Indiana Jones est clairement la fin. Spielberg a fait le tour des bonhommes venus d'une autre planète mais il a fallu que Lucas les insère dans l'histoire pour légèrement dénaturer le mythe du personnage. Malgré l'hommage volontaire aux films fantastiques des années 50, cette révélation finale a de quoi dégoûter les fans par son manque de dynamisme et d'originalité. Spalko se retrouve seule face aux squelettes qui se reforment de manière frontale pour donner naissance à un alien en images de synthèse, mal foutu et au design trop classique.
Pompé sur celui du premier épisode, ce final visuellement moche ne ressemble pas du tout à ce que Spielberg nous avait habitués, tant les couleurs ne sont pas du tout adéquates et fait sombrer ce dernier quart d'heure dans le ridicule le plus total, pouvant provoquer quelques éclats de rire. La soucoupe volante venue de nulle part enfonce le clou et ne respecte pas vraiment l'univers du personnage.

Mis à part ces deux points négatifs, ce quatrième Indiana Jones est un excellent divertissement brillament mise en scène, au découpage très lisible (Michael Kahn donne ici une véritable leçon de montage), au plaisir ultra communicatif.
Harrison Ford, du haut de ses 65 ans, s'en donne à coeur joie et se montre physiquement crédible dans son rôle qui a fait de lui une icône du cinéma Américain.
Retour gagnant !

8/10




Lorenzo a ecrit l'essentiel et je partage son avis (sauf pour Marion ou je partage l'avis de Bond), par contre je serais plus severe pour la note ou je mettrais 6,5/10
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Peter Parker
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MessagePosté le: Sam 24 Mai 2008 16:58    Sujet du message: Répondre en citant

Je l'ai vu hier soir, et je même si l'on retrouve le style "Indy" (que j'adore), l'histoire de ce dernier opus est tout simplement...bidon ! Sad

Dommage, car "presque" tout les ingrédients des 3 permiers films sont présents.

Je ne pense aller voir la suite....si suite il y a ...
Confused
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Spooky
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MessagePosté le: Dim 25 Mai 2008 20:38    Sujet du message: Répondre en citant

max zorin a écrit:
En résumé:

ceux qui ont aimé les 3 premiers aimeront, ceux qui n'ont pas aimé déseteront le 4ème. Laughing Wink


Même pas Confused
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Bob le Fou
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MessagePosté le: Lun 26 Mai 2008 14:59    Sujet du message: Répondre en citant

Bon, après l'avoir vu samedi dernier, je rajoute ma pierre à l'édifice des critiques... Attention SPOILERS pour ceux qui ne l'ont pas vu!
Pour commencer, c'est un film d'action "à l'ancienne" tout à fait correct sans être sensationnel. Le divertissement est bon à 95% (-5% pour la fin).
Maintenant est-ce que çà suffit pour en faire un bon Indiana Jones. J'aurais tendance à dire ...non. Pour un Indiana Jones, je le trouve fade!

Pour des raisons techniques tout d'abord:
Le film est loin d'avoir une définition géniale. Lorsque je l'ai vu j'ai trouvé que globalement le film n'était pas très net (et çà ne vient pas d'une question de mise au point car certains passages sont nets mais pas beaucoup!) D'autre part, mon frère est projectionniste et il m'a fait la même remarque quant à la qualité des copies. J'attend du coup de voir ce que va donner la définition du futur BR... qui rendra à mon avis un peu plus justice au film!
Deuxièmement, le film est "terne", les couleurs ne sont pas aussi chatoyantes que dans les trois premiers!
Troisièmement, les bruitages à l'ancienne bien que souvent drôles (Ahhh le bon vieux bruit de mandale!!! Laughing ) deviennent carricaturaux à la longue (ceux qui l'ont vu, remémorez vous le combat à coups de manchettes de Mutt et la ruskoff, sur les jeeps dans la jungle! Confused )
La 3D de l'alien à la fin vraiment pas top!
Sad

Ensuite, au niveau scénario, il y a, comme le soulignait Lorenzo, des bizarreries qui viennent un peu gâcher le coté aventure du film (le passage de "tarzan" et ses "amis", le record de "vol libre en frigo" sans une égratignure surtout dans de telles circonstances, l'interrogatoire, le 1/4h de fin....)
et où sont les seconds rôles charismatiques??? Kate Blanchefesse est transparente comme méchante, son colonnel d'acolyte également, Mac le copain ne sert à rien dans le film... Sallah et Marcus Brody me manquent!
Reste Shia qui pour une fois ne surjoue pas et qui du coup apporte un vent de jeunesse sur cet épisode...même si je le trouve pourtant un peu trop connoté "box office américain des années 2000" pour ce genre de film. Au niveau strictement charismatique, sa confrontation avec Harrison Ford ne tourne pas en sa faveur! (et en même temps je ne vois pas bien qui d'autre aurait pu prétendre pour ce rôle... Confused )

Pour finir, et c'est le point qui m'a le plus marqué, c'est que c'est un film "clin d'oeil" aux précédentes versions. Sauf qu'en l'occurence, il y a tellement de ces clins d'oeil (si je devais compter, je suis sûr que j'en trouverais une bonne trentaine!)(il ne fallait pas que Spielberg et Lucas se sentent obligés de nous refoutre dans le bain à ce point!!! Confused ) que ce film en devient un faire valoir pour les trois premiers plus qu'une véritable suite... Sad
C'est ce dernier point qui dicte mon avis sur le film, plutôt mitigé: Il ne suffit pas de nous remettre un p'tit coup de musique de J. Williams et 36 clins d'oeil aux anciens opus pour faire passer la pillule et faire un vrai quatrième volet.
On reste sur sa faim....même si on ne voit pas le temps passer!
Note divertissement: 7/10
Note "4ème volet Indiana Jones": 5,5/10
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MessagePosté le: Lun 26 Mai 2008 21:39    Sujet du message: Répondre en citant

max zorin a écrit:
En résumé:

ceux qui ont aimé les 3 premiers aimeront, ceux qui n'ont pas aimé déseteront le 4ème. Laughing Wink


je corrige: les vrais fans de "l'esprit Indiana" des 3 premiers vont détester, les amateurs de benjamin gates et autres conneries à la alan quatermain vont adorer....

Moi j'ai envie de pleurer.......19 ans pour ça.......rarement vu un tel désastre.......une page se tourne.......sniff Crying or Very sad Crying or Very sad Crying or Very sad Crying or Very sad mais rendez nous le spielberg d'il ya 20 ans!!!

note:.............je peux pas c'est trop dur!!!
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MessagePosté le: Lun 26 Mai 2008 22:52    Sujet du message: Répondre en citant

J'hésite de plus en plus à aller le voir. Confused
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MessagePosté le: Mar 27 Mai 2008 07:05    Sujet du message: Répondre en citant

Dark Vador a écrit:
J'hésite de plus en plus à aller le voir. Confused

Oh ben moi, je n'hésite déjà plus

Les termes "Benjamin" et "Gates" ayant même été glissés dans un topic, ça m'a fait l'effet d'une douche froide
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MessagePosté le: Mar 27 Mai 2008 07:48    Sujet du message: Répondre en citant

ouais mais de toutes façons on vous connait, vous faites la fine bouche maintenant et tout le monde ira acheter le bluray ou le dvd à sa sortie Laughing
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MessagePosté le: Mar 27 Mai 2008 07:57    Sujet du message: Répondre en citant

Au niveau mondial, le film a déjà rapporté dans les 297 millions de dollars... pour un budget de 185 millions de dollars !
Wink
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